Abidjan (Côte d’Ivoire)- Une session destinée à former et à sensibiliser les journalistes ivoiriens sur les changements climatiques s’est ouverte, lundi, à Abidjan.
A l’ouverture des travaux, le Coordonnateur adjoint du programme de lutte contre le changement climatique, Lucien Dja, a indiqué que les changements climatiques sont causés par la destruction des forêts et des émissions de gaz à effet de serre.
« Les arbres et les forêts absorbent le dioxyde de carbone (Co2). Quand ces arbres sont détruits, ils libèrent dans l’atmosphère, tout le Co2 emmagasiné pendant de longues années, augmentant ainsi, la quantité de gaz à effet de serre dans l’atmosphère», a expliqué Lucien Dja.
Par ailleurs, il a précisé que le changement climatique est causé par les émissions de gaz carbonique par les industriels, mais également par la déforestation et les autres émissions de gaz dues aux déchets ménagers sauvages.
Dans la foulée, il a annoncé que le changement climatique entraine des conséquences multiples, notamment la baisse du rendement agricole, l’érosion côtière, la recrudescence de vecteurs causant le paludisme, l’amenuisement des ressources en eau et le déplacement massif de populations.
Abordant le chapitre de lutte contre le changement climatique, le conférencier a relevé la signature de plusieurs conventions notamment la Convention cadre des Nations Unies sur les changements climatiques comprenant 192 pays.
« Le protocole de Kyoto signé le 28 décembre 2005 est venu rendre opérationnel cette convention cadre des Nations unies», a poursuivi le Coordonnateur adjoint.
Pour lutter contre ce phénomène, les organisateurs de ce séminaire ont recommandé des solutions transitoires comme la combinaison des besoins du développement à la prise en compte de l’importance de la nature.
En Côte d’Ivoire plusieurs mesures ont été prises pour faire face à ce fléau, avec notamment, la création du Programme national contre le changement climatique, la création par décret d’une Autorité nationale pour un mécanisme de développement propre (An-Mdp), en Octobre 2014.
Près d’un milliard de la population mondiale dépend des produits de la foret et 70% des espèces terrestres vivent dans les forêts.
LS/APA
A l’ouverture des travaux, le Coordonnateur adjoint du programme de lutte contre le changement climatique, Lucien Dja, a indiqué que les changements climatiques sont causés par la destruction des forêts et des émissions de gaz à effet de serre.
« Les arbres et les forêts absorbent le dioxyde de carbone (Co2). Quand ces arbres sont détruits, ils libèrent dans l’atmosphère, tout le Co2 emmagasiné pendant de longues années, augmentant ainsi, la quantité de gaz à effet de serre dans l’atmosphère», a expliqué Lucien Dja.
Par ailleurs, il a précisé que le changement climatique est causé par les émissions de gaz carbonique par les industriels, mais également par la déforestation et les autres émissions de gaz dues aux déchets ménagers sauvages.
Dans la foulée, il a annoncé que le changement climatique entraine des conséquences multiples, notamment la baisse du rendement agricole, l’érosion côtière, la recrudescence de vecteurs causant le paludisme, l’amenuisement des ressources en eau et le déplacement massif de populations.
Abordant le chapitre de lutte contre le changement climatique, le conférencier a relevé la signature de plusieurs conventions notamment la Convention cadre des Nations Unies sur les changements climatiques comprenant 192 pays.
« Le protocole de Kyoto signé le 28 décembre 2005 est venu rendre opérationnel cette convention cadre des Nations unies», a poursuivi le Coordonnateur adjoint.
Pour lutter contre ce phénomène, les organisateurs de ce séminaire ont recommandé des solutions transitoires comme la combinaison des besoins du développement à la prise en compte de l’importance de la nature.
En Côte d’Ivoire plusieurs mesures ont été prises pour faire face à ce fléau, avec notamment, la création du Programme national contre le changement climatique, la création par décret d’une Autorité nationale pour un mécanisme de développement propre (An-Mdp), en Octobre 2014.
Près d’un milliard de la population mondiale dépend des produits de la foret et 70% des espèces terrestres vivent dans les forêts.
LS/APA