Abidjan - Le Programme national de lutte contre la Réduction des émissions des gaz à effet de serre issues de la déforestation et la dégradation des forêts (REDD+), a instruit, mardi, les journalistes ivoiriens sur le Plan de préparation de la Côte d’Ivoire à la REDD+ (R-PP) au deuxième jour d’un séminaire sur la lutte contre les changements climatiques qui se déroulait à la Maison de la presse à Abidjan-Plateau.
Selon les organisateurs, il s’agit de la mise en place d’une politique de lutte contre la déforestation et la dégradation des forêts, en partenariat avec la Banque mondiale à travers le Fonds de partenariat pour le carbone forestier (PCPF) et l’ONUREDD regroupant le PNUD et la FAO.
L’adjoint au point focal national REDD+, Dja Lucien, et les animateurs de l’atelier, ont indiqué qu’une feuille de route a été élaborée et que des cellules ont été mises sur pied pour le suivi et la coordination des actions à mener, avec le concours de tous les acteurs impliqués.
La réussite de ce programme repose sur l’identification des causes de la déforestation et de la dégradation des forêts et la mise en œuvre de mesures comme "le découplage entre la production agricole et la déforestation, c’est-à-dire produire plus sans détruire la forêt, le développement de l’énergie domestique durable, la restauration des forêts dégradées et le reboisement populaire", a indiqué l’un des conférenciers, Aka Jean-Paul.
Pour mobiliser et impliquer les acteurs du monde agricole dans le succès de ce programme de sauvegarde des forêts, les organisateurs ont fait savoir qu’il existe une politique dite "Paiements pour service environnementaux" (PSE) qui rémunère les bénéficiaires du projet en fonction des résultats obtenus, des superficies reboisées ou entretenues.
La REDD+ existe depuis 2005. La Côte d’Ivoire y a adhéré en 2011.
(AIP)
akr/aaa/tm
Selon les organisateurs, il s’agit de la mise en place d’une politique de lutte contre la déforestation et la dégradation des forêts, en partenariat avec la Banque mondiale à travers le Fonds de partenariat pour le carbone forestier (PCPF) et l’ONUREDD regroupant le PNUD et la FAO.
L’adjoint au point focal national REDD+, Dja Lucien, et les animateurs de l’atelier, ont indiqué qu’une feuille de route a été élaborée et que des cellules ont été mises sur pied pour le suivi et la coordination des actions à mener, avec le concours de tous les acteurs impliqués.
La réussite de ce programme repose sur l’identification des causes de la déforestation et de la dégradation des forêts et la mise en œuvre de mesures comme "le découplage entre la production agricole et la déforestation, c’est-à-dire produire plus sans détruire la forêt, le développement de l’énergie domestique durable, la restauration des forêts dégradées et le reboisement populaire", a indiqué l’un des conférenciers, Aka Jean-Paul.
Pour mobiliser et impliquer les acteurs du monde agricole dans le succès de ce programme de sauvegarde des forêts, les organisateurs ont fait savoir qu’il existe une politique dite "Paiements pour service environnementaux" (PSE) qui rémunère les bénéficiaires du projet en fonction des résultats obtenus, des superficies reboisées ou entretenues.
La REDD+ existe depuis 2005. La Côte d’Ivoire y a adhéré en 2011.
(AIP)
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