Le mardi 05 mai 2015 à l’institut Sotra sis à Yopougon, s’est tenue une conférence, à l’initiative de l’Union des Patrons de presse pour la République (UPPR), sur la gestion des ressources humaines : le cas de la Sotra.
Ainsi à cette rencontre, le conférencier, le Directeur des Ressources humaines de la Sotra. Mamadou Diomandé, Avocat de profession à Saint-Vazaire en France, Consultant international en management des Ressources humaines et en développement durable et expert consultant auprès de l’Onu à la CNUCED, a entretenu l’auditoire sur les Ressources humaines et plus précisément sur la stratégie mise en place par lui dès sa prise de fonction à la Sotra. Notre brillant technocrate a d’entrée mentionné la situation de faillite de la Sotra avant la prise de fonction du Directeur Général avec un montant de 24 milliards de dettes fournisseurs, 17 milliards de solde débiteur et un parc autobus de 90 véhicules au lieu des 1400 nécessaires pour un fonctionnement normal au service des populations abidjanaises.
Après avoir planté le décor, Mr. Mamadou Diomandé a insisté sur le fait que pour le bon fonctionnement sinon le redressement de la Sotra, il a axé son programme sur trois indicateurs essentiels des ressources humaines à savoir : l’équilibre entre les ressources humaines et la masse salariale, l’équilibre entre les ressources humaines et les services de productions et l’équilibre social c'est-à-dire comment motiver et communiquer avec le personnel et œuvrer à préserver constamment la paix sociale dans l’entreprise.
Le conférencier a soutenu avoir opté pour le rajeunissement des effectifs car la moyenne d’âge des agents conducteurs était de 51 ans. Dans la foulée, Mamadou Diomandé a mis sur pied le CEF c'est-à-dire, Contrat-Essai-Formation qui a permis à l’entreprise de former 336 jeunes gens dont les meilleurs après évaluation, ont toutes les chances d’être embauchés.
Il a entretenu avec brio un auditoire captivé par le professionnalisme, la simplicité et l’humilité d’un si grand homme, qui n’a pas hésité un seul instant à se mettre en omission dans son métier d’avocat pour répondre à l’appel du pays.
Il a terminé son propos en insistant sur l’exigence de rendre compte pour les responsables, à la tête des structures de nos Etats en Afrique.
Les membres de l’UPPR formés
Le même jour, il s’est tenu à l’institut Sotra de Yopougon un séminaire de formation pour les acteurs de la presse écrite, à l’initiative de Philippe Sieko, membre de l’UPPR, sur le thème suivant : la gestion des ressources humaines : Quels enjeux pour la presse écrite en Côte d’Ivoire.
Ledit séminaire animé par Mr Bity Lazare, consultant en ressources humaines, a été l’occasion pour les journalistes participants de s’imprégner de l’importance de la gestion du capital humain au sein de toute organisation. Après avoir présenté la gestion des ressources humaines, le formateur a fait comprendre à son auditoire qu’aucune organisation ou entreprise digne de ce nom ne saurait prospérer sans une bonne stratégie managériale du capital humain.
A la presse écrite il a surtout fait comprendre, qu’étant les acteurs de ce qui est considéré comme le 4e pouvoir, les journalistes doivent être des hommes qui exercent leurs métiers avec professionnalisme tel un sacerdoce. Ainsi il n’a pas manqué de souligner que les journalistes devraient de plus en plus participer à ce genre de formation afin de se mettre en adéquation avec les nouvelles donnes.
Au terme de la formation, tous les participants se sont dit heureux d’avoir pu éclairer leur lanterne et se sont promis d’œuvrer dans l’esprit de l’éthique et de la déontologie de leur corps de métier, pour son développement.
OD
Ainsi à cette rencontre, le conférencier, le Directeur des Ressources humaines de la Sotra. Mamadou Diomandé, Avocat de profession à Saint-Vazaire en France, Consultant international en management des Ressources humaines et en développement durable et expert consultant auprès de l’Onu à la CNUCED, a entretenu l’auditoire sur les Ressources humaines et plus précisément sur la stratégie mise en place par lui dès sa prise de fonction à la Sotra. Notre brillant technocrate a d’entrée mentionné la situation de faillite de la Sotra avant la prise de fonction du Directeur Général avec un montant de 24 milliards de dettes fournisseurs, 17 milliards de solde débiteur et un parc autobus de 90 véhicules au lieu des 1400 nécessaires pour un fonctionnement normal au service des populations abidjanaises.
Après avoir planté le décor, Mr. Mamadou Diomandé a insisté sur le fait que pour le bon fonctionnement sinon le redressement de la Sotra, il a axé son programme sur trois indicateurs essentiels des ressources humaines à savoir : l’équilibre entre les ressources humaines et la masse salariale, l’équilibre entre les ressources humaines et les services de productions et l’équilibre social c'est-à-dire comment motiver et communiquer avec le personnel et œuvrer à préserver constamment la paix sociale dans l’entreprise.
Le conférencier a soutenu avoir opté pour le rajeunissement des effectifs car la moyenne d’âge des agents conducteurs était de 51 ans. Dans la foulée, Mamadou Diomandé a mis sur pied le CEF c'est-à-dire, Contrat-Essai-Formation qui a permis à l’entreprise de former 336 jeunes gens dont les meilleurs après évaluation, ont toutes les chances d’être embauchés.
Il a entretenu avec brio un auditoire captivé par le professionnalisme, la simplicité et l’humilité d’un si grand homme, qui n’a pas hésité un seul instant à se mettre en omission dans son métier d’avocat pour répondre à l’appel du pays.
Il a terminé son propos en insistant sur l’exigence de rendre compte pour les responsables, à la tête des structures de nos Etats en Afrique.
Les membres de l’UPPR formés
Le même jour, il s’est tenu à l’institut Sotra de Yopougon un séminaire de formation pour les acteurs de la presse écrite, à l’initiative de Philippe Sieko, membre de l’UPPR, sur le thème suivant : la gestion des ressources humaines : Quels enjeux pour la presse écrite en Côte d’Ivoire.
Ledit séminaire animé par Mr Bity Lazare, consultant en ressources humaines, a été l’occasion pour les journalistes participants de s’imprégner de l’importance de la gestion du capital humain au sein de toute organisation. Après avoir présenté la gestion des ressources humaines, le formateur a fait comprendre à son auditoire qu’aucune organisation ou entreprise digne de ce nom ne saurait prospérer sans une bonne stratégie managériale du capital humain.
A la presse écrite il a surtout fait comprendre, qu’étant les acteurs de ce qui est considéré comme le 4e pouvoir, les journalistes doivent être des hommes qui exercent leurs métiers avec professionnalisme tel un sacerdoce. Ainsi il n’a pas manqué de souligner que les journalistes devraient de plus en plus participer à ce genre de formation afin de se mettre en adéquation avec les nouvelles donnes.
Au terme de la formation, tous les participants se sont dit heureux d’avoir pu éclairer leur lanterne et se sont promis d’œuvrer dans l’esprit de l’éthique et de la déontologie de leur corps de métier, pour son développement.
OD