Sassandra - La Mutuelle générale des instituteurs de Sassandra (MUGIS) a organisé la 4ème édition des journées des instituteurs, sous le thème "Bilan et perspectives des activités du ministère de l’Education et des activités de l’Inspection de l’enseignement primaire".
Le président de la MUGIS a salué les efforts du gouvernement, du conseil régional et de la mairie pour réussir le pari de scolariser tous les enfants de la région.
L’inspecteur de l’enseignement primaire de Sassandra/Fresco, Morou Kouassi, les a encouragés à poursuivre leurs efforts vu le nombre important d’écoles communautaires dans la région qui exprime clairement les besoins à satisfaire.
Tour à tour, l’adjoint au maire de Sassandra, le président du conseil régional et le chef du cabinet du ministre de l’Education nationale et de l’Enseignement technique (MENET) ont répondu favorablement aux doléances de l’IEP de Sassandra/Fresco, en ce qui concerne la construction de nouvelles écoles et salles de classe.
En reconnaissance aux efforts particuliers que fait le Président du conseil régional, la MUGIS a honoré son épouse, Patricia Legré qui s’est engagée à être aux côtés des instituteurs.
Cette 4ème édition des Journées de l’instituteur à Sassandra a été marquée par une soirée récréative avec des ballets et des prestations théâtrales ainsi que des rencontres sportives.
La circonscription de l’enseignement primaire de Sassandra compte 144 écoles divisées en cinq secteurs pédagogiques pour 33.000 écoliers encadrés par 713 instituteurs.
Ces écoles sont insuffisantes, même avec les efforts de l’Etat à travers le Programme présidentiel d’urgence, le conseil régional et la mairie, pour atteindre l’objectif de 100% d’enfants à scolariser.
Pour palier ce déficit de structures d’accueil des enfants, les communautés villageoises ont créé des écoles de fortune appelées centres d’éducation communautaire (CEC) qui foisonnent dans la région du Gbôklè.
Le coordonnateur régional de l’alphabétisation et de l’éducation non formelle, Adou Djandji Amos, indique qu’il existe cent CEC dans la région dont 50 à Sassandra et 50 à Fresco.
(AIP)
iv/aaa/akn/tm
Le président de la MUGIS a salué les efforts du gouvernement, du conseil régional et de la mairie pour réussir le pari de scolariser tous les enfants de la région.
L’inspecteur de l’enseignement primaire de Sassandra/Fresco, Morou Kouassi, les a encouragés à poursuivre leurs efforts vu le nombre important d’écoles communautaires dans la région qui exprime clairement les besoins à satisfaire.
Tour à tour, l’adjoint au maire de Sassandra, le président du conseil régional et le chef du cabinet du ministre de l’Education nationale et de l’Enseignement technique (MENET) ont répondu favorablement aux doléances de l’IEP de Sassandra/Fresco, en ce qui concerne la construction de nouvelles écoles et salles de classe.
En reconnaissance aux efforts particuliers que fait le Président du conseil régional, la MUGIS a honoré son épouse, Patricia Legré qui s’est engagée à être aux côtés des instituteurs.
Cette 4ème édition des Journées de l’instituteur à Sassandra a été marquée par une soirée récréative avec des ballets et des prestations théâtrales ainsi que des rencontres sportives.
La circonscription de l’enseignement primaire de Sassandra compte 144 écoles divisées en cinq secteurs pédagogiques pour 33.000 écoliers encadrés par 713 instituteurs.
Ces écoles sont insuffisantes, même avec les efforts de l’Etat à travers le Programme présidentiel d’urgence, le conseil régional et la mairie, pour atteindre l’objectif de 100% d’enfants à scolariser.
Pour palier ce déficit de structures d’accueil des enfants, les communautés villageoises ont créé des écoles de fortune appelées centres d’éducation communautaire (CEC) qui foisonnent dans la région du Gbôklè.
Le coordonnateur régional de l’alphabétisation et de l’éducation non formelle, Adou Djandji Amos, indique qu’il existe cent CEC dans la région dont 50 à Sassandra et 50 à Fresco.
(AIP)
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