Des activistes des droits de l'Homme ne sont pas contents de la procureure de la Cour pénale internationale (Cpi). Ils l'ont signifié récemment à la concernée elle-même, à ses bureaux à La Haye.
Au centre de leur mécontentement, les poursuites judiciaires devant la juridiction internationale, qu'ils apprécient comme étant à «sens unique». En clair, ces militants des droits humains, avec qui nous avons échangé à leur retour des Pays-Bas, reprochent à la Cpi, la lenteur des procédures visant «des leaders importants» du camp Ouattara et le déséquilibre des poursuites». Toute chose, qui de leur avis, conforterait dans l'opinion nationale et même internationale, la thèse d'une justice dite des vainqueurs. Laquelle ne prendrait pas en compte toutes les victimes de la... suite de l'article sur L’Inter
Au centre de leur mécontentement, les poursuites judiciaires devant la juridiction internationale, qu'ils apprécient comme étant à «sens unique». En clair, ces militants des droits humains, avec qui nous avons échangé à leur retour des Pays-Bas, reprochent à la Cpi, la lenteur des procédures visant «des leaders importants» du camp Ouattara et le déséquilibre des poursuites». Toute chose, qui de leur avis, conforterait dans l'opinion nationale et même internationale, la thèse d'une justice dite des vainqueurs. Laquelle ne prendrait pas en compte toutes les victimes de la... suite de l'article sur L’Inter