Abidjan -Le président du Conseil national de la presse (CNP), Raphaël Oré Lakpé, au sortir d’une rencontre mercredi, avec la direction de l’Agence ivoirienne de presse, au siège de cette agence au Plateau, a affirmé la volonté de son institution d'aider cet organe de presse dans la couverture médiatique de la présidentielle d’octobre.
"Nous avons initié cette rencontre pour échanger avec la direction de l’AIP. Nous sommes dans une année électorale et c’est tout à fait normal que nous puissions harmoniser nos efforts. Nous avons pris l’engagement dans la mesure de nos possibilités, de jouer notre partition pour que l’AIP travaille dans de bonnes conditions", a confié M. Lakpé, qui a avoué avoir beaucoup appris du fonctionnement et de l’évolution de l’agence.
Le responsable du CNP a révélé que sur recommandation de la direction de l’Agence avec à sa tête, Valentine Barry Sana Oumou, le comité de monitoring accordera dorénavant une attention particulière aux productions journalières de l’AIP comme cela est le cas avec les différentes publications de la presse imprimée.
Si jusqu’à présent, les agents avaient l’impression que le CNP ne s’intéressait pas à l’AIP, a précisé l’hôte du jour, c’est sûrement parce que les informations soumises aux rédactions par cette entreprise de presse ne souffraient d’aucune irrégularité à savoir qu’elles étaient "toujours traitées de façon professionnelle et équilibrée".
"Dans ces conditions, comme il n’y a pas de fautes, on ne pouvait pas nous sentir. C’est pour cela que l’AIP à l’impression que le CNP ne la régule pas aussi", a-t-il conclu.
Le CNP est l’instance de régulation de la presse écrite en Côte d’Ivoire. Il fonctionne avec un conseil d’administration de 12 membres qui statuent sur les manquements repérés dans les journaux, rappelle-t-on.
(AIP)
fmo/akn/ask
"Nous avons initié cette rencontre pour échanger avec la direction de l’AIP. Nous sommes dans une année électorale et c’est tout à fait normal que nous puissions harmoniser nos efforts. Nous avons pris l’engagement dans la mesure de nos possibilités, de jouer notre partition pour que l’AIP travaille dans de bonnes conditions", a confié M. Lakpé, qui a avoué avoir beaucoup appris du fonctionnement et de l’évolution de l’agence.
Le responsable du CNP a révélé que sur recommandation de la direction de l’Agence avec à sa tête, Valentine Barry Sana Oumou, le comité de monitoring accordera dorénavant une attention particulière aux productions journalières de l’AIP comme cela est le cas avec les différentes publications de la presse imprimée.
Si jusqu’à présent, les agents avaient l’impression que le CNP ne s’intéressait pas à l’AIP, a précisé l’hôte du jour, c’est sûrement parce que les informations soumises aux rédactions par cette entreprise de presse ne souffraient d’aucune irrégularité à savoir qu’elles étaient "toujours traitées de façon professionnelle et équilibrée".
"Dans ces conditions, comme il n’y a pas de fautes, on ne pouvait pas nous sentir. C’est pour cela que l’AIP à l’impression que le CNP ne la régule pas aussi", a-t-il conclu.
Le CNP est l’instance de régulation de la presse écrite en Côte d’Ivoire. Il fonctionne avec un conseil d’administration de 12 membres qui statuent sur les manquements repérés dans les journaux, rappelle-t-on.
(AIP)
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