Abidjan – Le président des enseignants et chercheurs, militants de l’Union pour la Côte d’Ivoire (UPCI), Dr Kouassi Nazaire, "déplore" et "désapprouve" la situation de blocage des universités causée par le grève des enseignants du supérieur qui dure plus d’un mois malgré l’annonce, le 1er mai, du déblocage des salaires par le président de la République.
"Nous déplorons et désapprouvons la situation de blocage pour cause de grève qui perdure dans les universités de Côte d’Ivoire", déclare Dr Kouassi Nazaire dans un communiqué dont l’AIP a eu copie vendredi.
M. Kouassi demande "à la branche encore en grève de la Coordination des enseignants et chercheurs (CNEC)" de suspendre son mot d’ordre de grève pour aller à la négociation et appelle à l’usage de la voie "pacifique et constructive du dialogue" pour bâtir un enseignement supérieur "à la dimension des pays développés".
L’UPCI, fondé par l’actuel ministre de l‘Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Gnamien Konan, rappelle que le président de la République a lancé un appel à une trêve sociale le 1er mai auquel a souscrit une partie de la CNEC et un autre appel du gouvernement à la reprise du travail.
Les enseignants du supérieur du parti de Gnamien Konan estiment que la poursuite de la grève dessert leurs intérêts après le déblocage des avancements des salaires et la mise à leur disposition d’un fonds de 500 millions de francs CFA consacré à la recherche.
(AIP)
aaa/akn/ask
"Nous déplorons et désapprouvons la situation de blocage pour cause de grève qui perdure dans les universités de Côte d’Ivoire", déclare Dr Kouassi Nazaire dans un communiqué dont l’AIP a eu copie vendredi.
M. Kouassi demande "à la branche encore en grève de la Coordination des enseignants et chercheurs (CNEC)" de suspendre son mot d’ordre de grève pour aller à la négociation et appelle à l’usage de la voie "pacifique et constructive du dialogue" pour bâtir un enseignement supérieur "à la dimension des pays développés".
L’UPCI, fondé par l’actuel ministre de l‘Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Gnamien Konan, rappelle que le président de la République a lancé un appel à une trêve sociale le 1er mai auquel a souscrit une partie de la CNEC et un autre appel du gouvernement à la reprise du travail.
Les enseignants du supérieur du parti de Gnamien Konan estiment que la poursuite de la grève dessert leurs intérêts après le déblocage des avancements des salaires et la mise à leur disposition d’un fonds de 500 millions de francs CFA consacré à la recherche.
(AIP)
aaa/akn/ask