Abidjan - Le président du conseil national de la presse, M. Raphael Oré Lakpé, a exhorté, mardi, à Abidjan, les femmes journalistes à prendre en main leur destin pour arriver à des postes de responsabilité.
"La femme a le sens de l’organisation, de l’anticipation et de la patience. Les femmes doivent prendre elles-mêmes des initiatives, se battre et susciter l’intérêt des promoteurs", a fait savoir M. Lakpé lors d’un panel organisé par le réseau des femmes journalistes et professionnelles de la communication (REFJPCI), dans le cadre de la journée internationale de la liberté de la presse.
Le panel avait pour thème "participation des femmes au management des médias et au processus décisionnel dans l’espace médiatique en Côte d’Ivoire : Quels impacts sur l’image des femmes dans les médias et la prise en compte du genre dans les contenus médiatiques ?".
Pour lui, il a fallu les années 1970 pour voir paraitre la première femme dans le gouvernement ivoirien et de 1970 à 1992, le nombre de femme n’a pas dépassé deux et aujourd’hui sur une quarantaine d’homme, il n’y a que cinq femmes.
Il en appelle donc à une action conjuguée des organisations des femmes pour faire la promotion des femmes.
(AIP)
sdaf/akn/kam
"La femme a le sens de l’organisation, de l’anticipation et de la patience. Les femmes doivent prendre elles-mêmes des initiatives, se battre et susciter l’intérêt des promoteurs", a fait savoir M. Lakpé lors d’un panel organisé par le réseau des femmes journalistes et professionnelles de la communication (REFJPCI), dans le cadre de la journée internationale de la liberté de la presse.
Le panel avait pour thème "participation des femmes au management des médias et au processus décisionnel dans l’espace médiatique en Côte d’Ivoire : Quels impacts sur l’image des femmes dans les médias et la prise en compte du genre dans les contenus médiatiques ?".
Pour lui, il a fallu les années 1970 pour voir paraitre la première femme dans le gouvernement ivoirien et de 1970 à 1992, le nombre de femme n’a pas dépassé deux et aujourd’hui sur une quarantaine d’homme, il n’y a que cinq femmes.
Il en appelle donc à une action conjuguée des organisations des femmes pour faire la promotion des femmes.
(AIP)
sdaf/akn/kam