Abidjan (Côte d'Ivoire) - La Cour pénale internationale (CPI) a annoncé, mercredi, avoir programmé a programmé une audience le mercredi 27 mai prochain "afin de rendre son arrêt sur la recevabilité de l'affaire à l’encontre de Simone Gbagbo".
"Aujourd'hui, le 20 mai 2015, la Chambre d'appel de la Cour pénale internationale (CPI) a programmé une audience le mercredi 27 mai 2015 à 16h30 (heure locale de La Haye) afin de rendre son arrêt sur la recevabilité de l'affaire à l'encontre de Simone Gbagbo", stipule un communiqué transmis à APA.
Le 30 septembre 2013, la Côte d'Ivoire a soulevé une exception d'irrecevabilité concernant l'affaire de l'ex-Première dame ivoirienne Simone Gbagbo. Le 11 décembre 2014, la Chambre préliminaire I de la CPI, a rejeté cette exception d'irrecevabilité et a rappelé à la Côte d'Ivoire son obligation de remettre sans délai Simone Gbagbo à la Cour.
Le 17 décembre 2014, la République de Côte d'Ivoire a fait appel contre cette décision de la Chambre préliminaire I.
Simone Gbagbo est suspectée de quatre chefs de crimes contre l'humanité (meurtres, viols et autres formes de violences sexuelles, actes de persécution, et autres actes inhumains) qui auraient été commis entre le 16 décembre 2010 et le 12 avril 2011 dans le contexte des violences post-électorales en Côte d'Ivoire qui ont fait plus de 3000 morts.
Mme Gbagbo qui n'est pas détenue par la CPI, a été condamnée en mars dernier à 20 ans de prison par la justice ivoirien pour son rôle dans cette crise postélectorale.
LS/APA
"Aujourd'hui, le 20 mai 2015, la Chambre d'appel de la Cour pénale internationale (CPI) a programmé une audience le mercredi 27 mai 2015 à 16h30 (heure locale de La Haye) afin de rendre son arrêt sur la recevabilité de l'affaire à l'encontre de Simone Gbagbo", stipule un communiqué transmis à APA.
Le 30 septembre 2013, la Côte d'Ivoire a soulevé une exception d'irrecevabilité concernant l'affaire de l'ex-Première dame ivoirienne Simone Gbagbo. Le 11 décembre 2014, la Chambre préliminaire I de la CPI, a rejeté cette exception d'irrecevabilité et a rappelé à la Côte d'Ivoire son obligation de remettre sans délai Simone Gbagbo à la Cour.
Le 17 décembre 2014, la République de Côte d'Ivoire a fait appel contre cette décision de la Chambre préliminaire I.
Simone Gbagbo est suspectée de quatre chefs de crimes contre l'humanité (meurtres, viols et autres formes de violences sexuelles, actes de persécution, et autres actes inhumains) qui auraient été commis entre le 16 décembre 2010 et le 12 avril 2011 dans le contexte des violences post-électorales en Côte d'Ivoire qui ont fait plus de 3000 morts.
Mme Gbagbo qui n'est pas détenue par la CPI, a été condamnée en mars dernier à 20 ans de prison par la justice ivoirien pour son rôle dans cette crise postélectorale.
LS/APA