L’Institut national polytechnique Félix Houphouet Boigny de Yamoussoukro (Inp-HB), a abrité le 20 mai, une école doctorale ayant réuni des étudiants de Côte d’Ivoire, du Burkina et du Benin.
Mardi, s’est tenue à l’Institut national polytechnique Félix Houphouët-Boigny de Yamoussoukro (Inp-HB), la première édition des doctorales 2015. Conjointement organisée avec l’école doctorale de l’Institut internationale d’ingénieurs de l’eau et de l’environnement (2ie) du Burkina Faso et de l’Ecole doctorale de chimie et application d’Abomey- Calavi du Bénin (Edca), cette rencontre de haut niveau a pour thème ‘’ Doctorat et monde industriel, quelles interactions ? ‘’. Selon Benjamin Yao Kouassi, directeur de l’école doctorale de l’Inp-FB de Yamoussoukro, la recherche se doit de contribuer au développement économique et soutenir les nations en apportant les solutions vitales aux populations. Et d’ajouter que les Doctoriales 2015 seront l’une des opportunités pour les industriels qui ont besoin de cadres compétents, d’être suffisamment informés sur les bénéfices qu’ils pourraient engranger au profit de leurs entreprises, en termes d’innovations grâce à la présence de docteurs dans leur personnel pour relever les défis dans un monde globalisant. Emboîtant le pas à Benjamin Yao, le directeur général adjoint (Dga) de l’Inp-FB , M. Sangaré Moustapha a, pour sa part, affirmé que l’école doctorale est porteuse d’espoir dans la recherche à l’ Inp-FB. ‘’ Les enseignants chercheurs doivent saisir cette occasion pour présenter les résultats de leurs recherches et de susciter des partenariats, en faisant en sorte que les entreprises et les populations puissent bénéficier des retombées de la recherche. L’Institut national polytechnique de Yamoussoukro apporte sa contribution dans la lutte contre le shollen shoot, la maladie du cacao, dans la potabilisation de l’eau et de l’assainissement, avec la construction des pompes hydrauliques dans l’imagerie spectrale pour le diagnostic du paludisme en temps, et travaille aussi sur le phénomène des faillites des entreprises pour les aider à surmonter les difficultés ‘’ a martelé le Dga. Pour le représentant du ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique, Kati Coulibaly, directeur général de la recherche scientifique et de l’innovation dans ledit ministère, l’honneur est aux autorités de cet institut. ‘’ J’encourage les doctorants à continuer dans cette dynamique pour apporter des solutions à la transformation des produits, à la qualité de la formation et dans la lutte contre les problèmes créés par le changement climatique. Les doctorats 2015 représentent un forum d’échanges entre doctorants de divers horizons pour faire le point sur la qualité de la formation au niveau de l’enseignement supérieur et pour l’industrie, d’identifier les mécanismes. 60 doctorants dont 15 issus du Bénin, 10 du Burkina- Faso, des enseignants- chercheurs et des industriels étaient au rendez-vous de Yamoussoukro. Notons que l’école doctorale est la dernière-née des écoles de l’Inp-FB de Yamoussoukro qui a à son affectif 15 doctorants en 2013. Elle compte à ce jour 100 doctorants dont une dizaine vient des autres pays.
Sahi Augustin à Yamoussoukro
Mardi, s’est tenue à l’Institut national polytechnique Félix Houphouët-Boigny de Yamoussoukro (Inp-HB), la première édition des doctorales 2015. Conjointement organisée avec l’école doctorale de l’Institut internationale d’ingénieurs de l’eau et de l’environnement (2ie) du Burkina Faso et de l’Ecole doctorale de chimie et application d’Abomey- Calavi du Bénin (Edca), cette rencontre de haut niveau a pour thème ‘’ Doctorat et monde industriel, quelles interactions ? ‘’. Selon Benjamin Yao Kouassi, directeur de l’école doctorale de l’Inp-FB de Yamoussoukro, la recherche se doit de contribuer au développement économique et soutenir les nations en apportant les solutions vitales aux populations. Et d’ajouter que les Doctoriales 2015 seront l’une des opportunités pour les industriels qui ont besoin de cadres compétents, d’être suffisamment informés sur les bénéfices qu’ils pourraient engranger au profit de leurs entreprises, en termes d’innovations grâce à la présence de docteurs dans leur personnel pour relever les défis dans un monde globalisant. Emboîtant le pas à Benjamin Yao, le directeur général adjoint (Dga) de l’Inp-FB , M. Sangaré Moustapha a, pour sa part, affirmé que l’école doctorale est porteuse d’espoir dans la recherche à l’ Inp-FB. ‘’ Les enseignants chercheurs doivent saisir cette occasion pour présenter les résultats de leurs recherches et de susciter des partenariats, en faisant en sorte que les entreprises et les populations puissent bénéficier des retombées de la recherche. L’Institut national polytechnique de Yamoussoukro apporte sa contribution dans la lutte contre le shollen shoot, la maladie du cacao, dans la potabilisation de l’eau et de l’assainissement, avec la construction des pompes hydrauliques dans l’imagerie spectrale pour le diagnostic du paludisme en temps, et travaille aussi sur le phénomène des faillites des entreprises pour les aider à surmonter les difficultés ‘’ a martelé le Dga. Pour le représentant du ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique, Kati Coulibaly, directeur général de la recherche scientifique et de l’innovation dans ledit ministère, l’honneur est aux autorités de cet institut. ‘’ J’encourage les doctorants à continuer dans cette dynamique pour apporter des solutions à la transformation des produits, à la qualité de la formation et dans la lutte contre les problèmes créés par le changement climatique. Les doctorats 2015 représentent un forum d’échanges entre doctorants de divers horizons pour faire le point sur la qualité de la formation au niveau de l’enseignement supérieur et pour l’industrie, d’identifier les mécanismes. 60 doctorants dont 15 issus du Bénin, 10 du Burkina- Faso, des enseignants- chercheurs et des industriels étaient au rendez-vous de Yamoussoukro. Notons que l’école doctorale est la dernière-née des écoles de l’Inp-FB de Yamoussoukro qui a à son affectif 15 doctorants en 2013. Elle compte à ce jour 100 doctorants dont une dizaine vient des autres pays.
Sahi Augustin à Yamoussoukro