Abidjan - Des responsables issus du monde des médias, de la société civile, des institutions et des organisations non gouvernementales (ONG), ont signé jeudi, la charte des femmes journalistes et professionnelles des médias, en vue de promouvoir leurs droits.
Au nombre de 21, les signataires de la présente charte, en cette cérémonie de lancement officiel, à la maison de la presse au Plateau sont issus des entreprises éditrices de journaux, des organes de presse, des institutions nationales et internationales, de la société civile et des ONG.
Pour les initiateurs, la naissance de ladite charte est le fruit d’un long processus. Ainsi, de l’avis de la Présidente du Réseau des Femmes Journalistes et Professionnelles de la communication Côte d’Ivoire (REFJPCI), Agnès Kraidy, elle a été élaborée en 2014, au prix de longues réflexions, avec les structures partenaires.
La mise en œuvre de cette plateforme, est de promouvoir leurs droits. Selon la représentante de l’Institut Panos Afrique de l’Ouest (IPAO), Mme Diana Senghor.
Elle vise "la gendérisation" du monde médiatique. En d’autres termes, elle a pour but de lutter pour un meilleur traitement de l’image de la femme et leur forte représentativité dans les médias. Donc de promouvoir le leadership, combattre les stéréotypes et les discriminations du monde féminin.
La charte des femmes journalistes et professionnels des médias comporte quatre chapitres et quatorze articles. Elle est inspirée de la convention internationale des droits de l’homme. Elle est dénommée charte pour une meilleure représentation des femmes dans les contenus et institutions médiatiques.
ar/akn/kam
Au nombre de 21, les signataires de la présente charte, en cette cérémonie de lancement officiel, à la maison de la presse au Plateau sont issus des entreprises éditrices de journaux, des organes de presse, des institutions nationales et internationales, de la société civile et des ONG.
Pour les initiateurs, la naissance de ladite charte est le fruit d’un long processus. Ainsi, de l’avis de la Présidente du Réseau des Femmes Journalistes et Professionnelles de la communication Côte d’Ivoire (REFJPCI), Agnès Kraidy, elle a été élaborée en 2014, au prix de longues réflexions, avec les structures partenaires.
La mise en œuvre de cette plateforme, est de promouvoir leurs droits. Selon la représentante de l’Institut Panos Afrique de l’Ouest (IPAO), Mme Diana Senghor.
Elle vise "la gendérisation" du monde médiatique. En d’autres termes, elle a pour but de lutter pour un meilleur traitement de l’image de la femme et leur forte représentativité dans les médias. Donc de promouvoir le leadership, combattre les stéréotypes et les discriminations du monde féminin.
La charte des femmes journalistes et professionnels des médias comporte quatre chapitres et quatorze articles. Elle est inspirée de la convention internationale des droits de l’homme. Elle est dénommée charte pour une meilleure représentation des femmes dans les contenus et institutions médiatiques.
ar/akn/kam
