Le concours financier de la Banque Africaine de Développement (BAD) en vue de combler la fracture numérique existant entre les hommes et les femmes ainsi que l’industrialisation de la mode africaine était au centre d’un panel vendredi dernier à Abidjan, au cours de la 50è session des Assemblées annuelles de la BAD.
Invitée à se prononcer au cours de ce panel, Kanaté Diakité Fatoumata, Conseiller Economique et Social, Membre Elue de la Chambre de commerce et d’Industrie de Côte d’Ivoire (Ccici), chargée du Genre a insisté sur la nécessité de promouvoir la formation et l’encadrement de la femme Africaine. Pour ce faire, a-t-elle souhaité que l’opportunité soit donnée aux femmes de participer davantage aux conférences et activités internationales.
Concernant l’industrialisation de la mode elle a notamment plaidé auprès de la BAD, la plus grande Institution financière du continent à financer la création d’une filiale dont la mission sera de financer des équipements ainsi que des intrants pour la culture du coton dans le Nord de la Côte d’Ivoire. Et d’encourager la formation des femmes paysannes.
« Nous voulons un partenariat gagnant-gagnant avec des partenaires, avec la BAD, pour aider les créateurs à passer du stade artisanal à celui de l’industrialisation qui comprend la formation », a affirmé le créateur Ivoirien Gilles Touré. Les panelistes ont aussi sollicité les industries et experts pour comprendre les potentialités de la mode africaine et créer des opportunités d’emploi pour les jeunes et les femmes.
Invitée à se prononcer au cours de ce panel, Kanaté Diakité Fatoumata, Conseiller Economique et Social, Membre Elue de la Chambre de commerce et d’Industrie de Côte d’Ivoire (Ccici), chargée du Genre a insisté sur la nécessité de promouvoir la formation et l’encadrement de la femme Africaine. Pour ce faire, a-t-elle souhaité que l’opportunité soit donnée aux femmes de participer davantage aux conférences et activités internationales.
Concernant l’industrialisation de la mode elle a notamment plaidé auprès de la BAD, la plus grande Institution financière du continent à financer la création d’une filiale dont la mission sera de financer des équipements ainsi que des intrants pour la culture du coton dans le Nord de la Côte d’Ivoire. Et d’encourager la formation des femmes paysannes.
« Nous voulons un partenariat gagnant-gagnant avec des partenaires, avec la BAD, pour aider les créateurs à passer du stade artisanal à celui de l’industrialisation qui comprend la formation », a affirmé le créateur Ivoirien Gilles Touré. Les panelistes ont aussi sollicité les industries et experts pour comprendre les potentialités de la mode africaine et créer des opportunités d’emploi pour les jeunes et les femmes.