Bouaké - Un colloque international sur le développement des capacités d’enseignement et de recherche en bioéthique francophone, s’est ouvert, mardi, à Bouaké, à l’initiative des universités Alassane Ouattara, de Montréal du Canada et d’Abomey-Calavi Benin), dans le cadre du projet de développement des capacités francophones en bioéthique.
La responsable de ce projet, le professeur Béatrice Godard de l’université de Montréal, a indiqué que les experts qui ont été formés et participé à différentes activités sur les questions d’éthique présenteront leurs réflexions et les résultats de leurs recherches puis, à l’issue du colloque, un article ou une revue internationale de bioéthique sera produit, afin de permettre le partage de leurs expériences et d’augmenter les connaissances en matière de bioéthique francophone.
Elle a souligné que ce colloque permettra particulièrement de renforcer les capacités des bénéficiaires sur les bonnes pratiques professionnelles pour ceux qui n’ont pas pu bénéficier de stages dans le cade de ce projet financé par l’Agence universitaire francophone.
Ce projet a permis aux bénéficiaires des bourses (ou stagiaires) de développer des compétences et des connaissances nécessaires en éthique pour poursuivre leurs recherches dans divers domaines d’applications notamment, dans l’élaboration de politique de santé, la réglementation, la gouvernance, la pratique de la santé publique.
Le professeur Bah Henri, directeur de cabinet du président de l’université Alassane Ouattara, coordonateur local de ce projet a fait savoir que, depuis 1996, cet établissement enseigne cette discipline et a obtenu actuellement la chaire UNESCO.
Ce colloque rentre dans le cadre des partenariats avec les experts internationaux et les institutions internationales pour la promotion de la bioéthique et son enseignement.
"Aucune émergence ne peut se faire sans la bioéthique, sans les questions éthiques, parce que le développement des techno-sciences deviennent incontournables aujourd’hui pour tous les pays qui veulent émerger", a-t-il affirmé, estimant que la bioéthique pourrait aider à réduire la répercussion des sciences et techniques sur la vie de l’homme.
Les participants, au nombre de 16 personnes, sont composés de cinq experts ivoiriens et 11 venus du Sénégal, d’Abomey Calavi (Benin) et de Montréal, issus de différents domaines tels que l’économie, la santé, droit et philosophie. Différentes thématiques seront développées, entre autres, "L’éthique clinique’’, "L’éthique et politique de santé’’, "L’éthique de la recherche’’, "Comité d’éthique’’.
La bioéthique touche les questions éthiques liées à la biomédicale que ce soit le développement technique, scientifique, les soins apportés aux personnes dans les hôpitaux, mais également tout ce qui concerne le développement des politiques publiques de santé afin de mieux servir les populations et de les respecter.
(AIP)
nbf/ask
La responsable de ce projet, le professeur Béatrice Godard de l’université de Montréal, a indiqué que les experts qui ont été formés et participé à différentes activités sur les questions d’éthique présenteront leurs réflexions et les résultats de leurs recherches puis, à l’issue du colloque, un article ou une revue internationale de bioéthique sera produit, afin de permettre le partage de leurs expériences et d’augmenter les connaissances en matière de bioéthique francophone.
Elle a souligné que ce colloque permettra particulièrement de renforcer les capacités des bénéficiaires sur les bonnes pratiques professionnelles pour ceux qui n’ont pas pu bénéficier de stages dans le cade de ce projet financé par l’Agence universitaire francophone.
Ce projet a permis aux bénéficiaires des bourses (ou stagiaires) de développer des compétences et des connaissances nécessaires en éthique pour poursuivre leurs recherches dans divers domaines d’applications notamment, dans l’élaboration de politique de santé, la réglementation, la gouvernance, la pratique de la santé publique.
Le professeur Bah Henri, directeur de cabinet du président de l’université Alassane Ouattara, coordonateur local de ce projet a fait savoir que, depuis 1996, cet établissement enseigne cette discipline et a obtenu actuellement la chaire UNESCO.
Ce colloque rentre dans le cadre des partenariats avec les experts internationaux et les institutions internationales pour la promotion de la bioéthique et son enseignement.
"Aucune émergence ne peut se faire sans la bioéthique, sans les questions éthiques, parce que le développement des techno-sciences deviennent incontournables aujourd’hui pour tous les pays qui veulent émerger", a-t-il affirmé, estimant que la bioéthique pourrait aider à réduire la répercussion des sciences et techniques sur la vie de l’homme.
Les participants, au nombre de 16 personnes, sont composés de cinq experts ivoiriens et 11 venus du Sénégal, d’Abomey Calavi (Benin) et de Montréal, issus de différents domaines tels que l’économie, la santé, droit et philosophie. Différentes thématiques seront développées, entre autres, "L’éthique clinique’’, "L’éthique et politique de santé’’, "L’éthique de la recherche’’, "Comité d’éthique’’.
La bioéthique touche les questions éthiques liées à la biomédicale que ce soit le développement technique, scientifique, les soins apportés aux personnes dans les hôpitaux, mais également tout ce qui concerne le développement des politiques publiques de santé afin de mieux servir les populations et de les respecter.
(AIP)
nbf/ask