Bouaké - Le préfet de la région de Gbêkê, préfet du département de Bouaké, Aka, Konin, a exhorté, lundi, à Bouaké, les candidats à l’examen du Brevet d’études du premier cycle et de l’entrée en seconde à travailler avec "sérénité sans paniquer, en considérant les épreuves comme une révision générale ou des devoirs de classe".
Aka Konin a lancé cet appel lors du lancement de cet examen à grand tirage en compagnie du directeur régional de l’éducation nationale de l’enseignement technique de Bouaké 1, Kékémo Daniel, au collège Victor Hugo où composent 630 candidats dans 24 salles.
M. Kékémo a indiqué que cette année est particulière parce que les examens sont placés sous le signe de la sécurisation des copies au maximum. Il n’y aura pas de compostage ou d’anonymat. «Ce sont des choses qui perdaient le temps et ne permettaient pas aux chefs de centres de s’atteler à la surveillance et la supervision», a-t-il signifié.
«Tout est vraiment bien parti pour un examen sécurisé», a-t-il affirmé, souhaitant une amélioration du taux de réussite par rapport à celui de 2014 qui était estimé à 57%.
Les candidats ont démarré avec l’épreuve de composition française autour de 9 heures à cause du retard d’acheminement des colis dans les centres d’examen. Dans les deux directions régionales de Gbêkê, 15745 candidats dont 6115 pour la DRENET de Bouaké 1 et 9630 pour Bouaké 2, affrontent les épreuves du BEPC et de l’entrée en seconde.
(AIP)
nbf/akn/ask
Aka Konin a lancé cet appel lors du lancement de cet examen à grand tirage en compagnie du directeur régional de l’éducation nationale de l’enseignement technique de Bouaké 1, Kékémo Daniel, au collège Victor Hugo où composent 630 candidats dans 24 salles.
M. Kékémo a indiqué que cette année est particulière parce que les examens sont placés sous le signe de la sécurisation des copies au maximum. Il n’y aura pas de compostage ou d’anonymat. «Ce sont des choses qui perdaient le temps et ne permettaient pas aux chefs de centres de s’atteler à la surveillance et la supervision», a-t-il signifié.
«Tout est vraiment bien parti pour un examen sécurisé», a-t-il affirmé, souhaitant une amélioration du taux de réussite par rapport à celui de 2014 qui était estimé à 57%.
Les candidats ont démarré avec l’épreuve de composition française autour de 9 heures à cause du retard d’acheminement des colis dans les centres d’examen. Dans les deux directions régionales de Gbêkê, 15745 candidats dont 6115 pour la DRENET de Bouaké 1 et 9630 pour Bouaké 2, affrontent les épreuves du BEPC et de l’entrée en seconde.
(AIP)
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