Les Etats et les organisations humanitaires onusiennes veulent une plus grande implication des structures du secteur privé dans l’action humanitaire en Afrique de l’ouest. Ils souhaitent que dans cette région du continent, une des plus pauvres au monde, les entreprises privées contribuent davantage aux initiatives de solidarité en cas de sinistre majeur ou de catastrophe.
C’est dans cet objectif que le Bureau de coordination des affaires humanitaires (Ocha) des Nations unies et des organisations partenaires ont organisé, le 4 juin, en collaboration avec le ministère de la Solidarité, de la Famille, de la Femme et de l’Enfant (Msffe) et la Confédération générale des entreprises de Côte d’Ivoire (Cgeci), un mini-sommet régional sur l’action humanitaire.
La rencontre, qui a eu pour cadre la Maison de l’entreprise au Plateau et qui avait pour thème : « Engager le secteur privé dans l’action humanitaire », vise, selon ses organisateurs, à identifier les meilleures pratiques et formuler des recommandations en vue d’un engagement accru des entreprises privées dans les initiatives humanitaires.
Les travaux se sont articulés autour de trois sous-thèmes. A savoir, « Partenariat sur l’analyse des risques et la planification de la préparation », « Partenariat sur la réponse aux crises et la phase de reprise » et « Création d’un environnement propice à la participation du secteur privé ».
Les recommandations de la réunion, au dire Modibo Traoré, chef du Bureau Ocha de Côte d’Ivoire, seront au menu des débats (spécifiques à l’Afrique de l’ouest) au Sommet mondial humanitaire prévu en mai 2016 à Istanbul (Turquie).
La directrice de cabinet adjointe du Msffe, Pr. Edmée Mansilla, qui représentait la ministre Anne Ouloto à la cérémonie de clôture de l’atelier, s’est appesantie sur le caractère particulier de l’événement. Il épouse, selon elle, le plaidoyer de la Côte d’Ivoire en faveur de la poursuite des activités des organisations humanitaires dans le pays. Car, en dépit de la fin de crise militaro-civile et politique, les enjeux humanitaires demeurent. Ils ont pour dénominations la pauvreté, les catastrophes naturelles, les pandémies, le changement climatique, etc.
C’est dans cet objectif que le Bureau de coordination des affaires humanitaires (Ocha) des Nations unies et des organisations partenaires ont organisé, le 4 juin, en collaboration avec le ministère de la Solidarité, de la Famille, de la Femme et de l’Enfant (Msffe) et la Confédération générale des entreprises de Côte d’Ivoire (Cgeci), un mini-sommet régional sur l’action humanitaire.
La rencontre, qui a eu pour cadre la Maison de l’entreprise au Plateau et qui avait pour thème : « Engager le secteur privé dans l’action humanitaire », vise, selon ses organisateurs, à identifier les meilleures pratiques et formuler des recommandations en vue d’un engagement accru des entreprises privées dans les initiatives humanitaires.
Les travaux se sont articulés autour de trois sous-thèmes. A savoir, « Partenariat sur l’analyse des risques et la planification de la préparation », « Partenariat sur la réponse aux crises et la phase de reprise » et « Création d’un environnement propice à la participation du secteur privé ».
Les recommandations de la réunion, au dire Modibo Traoré, chef du Bureau Ocha de Côte d’Ivoire, seront au menu des débats (spécifiques à l’Afrique de l’ouest) au Sommet mondial humanitaire prévu en mai 2016 à Istanbul (Turquie).
La directrice de cabinet adjointe du Msffe, Pr. Edmée Mansilla, qui représentait la ministre Anne Ouloto à la cérémonie de clôture de l’atelier, s’est appesantie sur le caractère particulier de l’événement. Il épouse, selon elle, le plaidoyer de la Côte d’Ivoire en faveur de la poursuite des activités des organisations humanitaires dans le pays. Car, en dépit de la fin de crise militaro-civile et politique, les enjeux humanitaires demeurent. Ils ont pour dénominations la pauvreté, les catastrophes naturelles, les pandémies, le changement climatique, etc.