Abidjan - Le Centre de promotion des investissements en Côte d’Ivoire (CEPICI) s’est doté d’un nouveau plan stratégique de promotion des investissements (PSPI) 2016-2020, afin de devenir "une agence de promotion des investissements performante et de renommée Internationale".
"Le contexte de ce plan est caractérisé par l’ambition du Président de la République de faire de la Côte de la Côte d’Ivoire,de faire de son pays un pays émergent à l’horizon 2020", a indiqué le directeur général du CEPICI, Emmanuel Essis Esmel lors d’un séminaire bilan organisé du 5 au 7 juin 2015 à Grand-Bassam sur le thème « Le CEPICI face aux défis de l’émergence économique de la Côte d’Ivoire à l’horizon 2020 ».
Il s’agissait, lors de ce séminaire, de faire d’une part le bilan à mi-parcours du PSPI 2012-2015 réalisé à 66% et d’autre part d’identifier les actions majeures à entreprendre pendant la période concernant le premier plan stratégique, selon une note d'information du CEPICI transmise à l'AIP, mardi.
Les travaux ont porté sur le cadre institutionnel, la gouvernance, l’environnement des affaires et l’appui au secteur privé, la stratégie d’attraction des investissements, l’étude et le suivi évaluation des investissements, l’accueil, la communication et la documentation.
"La notion d’émergence économique mérite d’être appréhendée par tous, autorités et populations, car, pour être émergent, il faut compter au moins 1% dans le PIB mondial, compter aussi dans les échanges mondiaux", a déclaré le directeur général du Plan, Diaby Lanciné, à l’ouverture des travaux.
Il a invité le CEPICI à travailler davantage pour trouver des formules innovantes, afin de capter les ressources nécessaires qui permettront d’atteindre ces objectifs.
Selon M. Diaby, à ce jour, la part de la Côte d’Ivoire dans les exportations mondiales est de 0,08%, alors que celle du Maroc, 0,11%, de l’Uemoa, 0,13%, de l’Afrique du Sud, 0,50%, de la CEDEAO, 0,58% et du Brésil, 1%.
"Notre pays se doit donc d’investir dans les infrastructures stratégiques afin de quitter le rang des pays en voie de développement, avoir une amélioration du niveau de vie, réduire le taux de pauvreté et élargir la classe moyenne", a-t-il souhaité, précisant que "être émergent ne signifie pas non plus que tous les indicateurs sont au vert".
(AIP)
kkf/akn/tm
"Le contexte de ce plan est caractérisé par l’ambition du Président de la République de faire de la Côte de la Côte d’Ivoire,de faire de son pays un pays émergent à l’horizon 2020", a indiqué le directeur général du CEPICI, Emmanuel Essis Esmel lors d’un séminaire bilan organisé du 5 au 7 juin 2015 à Grand-Bassam sur le thème « Le CEPICI face aux défis de l’émergence économique de la Côte d’Ivoire à l’horizon 2020 ».
Il s’agissait, lors de ce séminaire, de faire d’une part le bilan à mi-parcours du PSPI 2012-2015 réalisé à 66% et d’autre part d’identifier les actions majeures à entreprendre pendant la période concernant le premier plan stratégique, selon une note d'information du CEPICI transmise à l'AIP, mardi.
Les travaux ont porté sur le cadre institutionnel, la gouvernance, l’environnement des affaires et l’appui au secteur privé, la stratégie d’attraction des investissements, l’étude et le suivi évaluation des investissements, l’accueil, la communication et la documentation.
"La notion d’émergence économique mérite d’être appréhendée par tous, autorités et populations, car, pour être émergent, il faut compter au moins 1% dans le PIB mondial, compter aussi dans les échanges mondiaux", a déclaré le directeur général du Plan, Diaby Lanciné, à l’ouverture des travaux.
Il a invité le CEPICI à travailler davantage pour trouver des formules innovantes, afin de capter les ressources nécessaires qui permettront d’atteindre ces objectifs.
Selon M. Diaby, à ce jour, la part de la Côte d’Ivoire dans les exportations mondiales est de 0,08%, alors que celle du Maroc, 0,11%, de l’Uemoa, 0,13%, de l’Afrique du Sud, 0,50%, de la CEDEAO, 0,58% et du Brésil, 1%.
"Notre pays se doit donc d’investir dans les infrastructures stratégiques afin de quitter le rang des pays en voie de développement, avoir une amélioration du niveau de vie, réduire le taux de pauvreté et élargir la classe moyenne", a-t-il souhaité, précisant que "être émergent ne signifie pas non plus que tous les indicateurs sont au vert".
(AIP)
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