Yamoussoukro a servi de cadre à la 39e session de l’Organisation pour l’Harmonisation des Droits des Affaires (OHADA), les 10, 11 et 12 Juin. Une session qui a permis aux experts et ministres des 17 pays membres de redimensionner l’organisme panafricain.
Créée en 1993, l’OHADA s’est attachée depuis, à l’élaboration de textes juridiques pour
l’assainissement du Droit des affaires des 17 pays membres de l’organisation. On peut pèle mêle citer la mise sur pied d’une cour commune d’arbitrage, l’élaboration d’un statut sur l’entreprenariat, la sécurisation des Droits des affaires en vue de contribuer efficacement au développement des pays membres.
A Yamoussoukro, les spécialistes de la question des Droits des affaires ont a nouveau planché sur les textes retouchés au mois de mars 215, date de la dernière session qui a eu lieu Abidjan. Gnénéma Mamadou Coulibaly, le ministre ivoirien de la justice, des droits de l’homme et des libertés publiques et ses pairs ont a nouveau porté des réflexions sur l’amélioration du code qui régit l’OHADA .
Cette session a été rehaussée par la présence de Christine Taubira, Garde des Sceaux, ministre de la Justice de la république française.
Mme Taubira, a apporté une plus value a cette rencontre de Yamoussoukro avec l’expertise de la justice française en matière des Droits des affaires. Le Premier Ministre Daniel Kablan Duncan pour sa part n’a pas manqué de souligner la pertinence de cet outil de développement qu’est l’OHADA, en insistant dans ses propos, à la cérémonie d’ouverture sur cette structure qu’il a qualifiée de ‘’ mécanisme d’intégration juridique, de Droit commun juridique, indispensable au monde des affaires’’, voire au développement de l’Afrique qui aspire à l’émergence.
Yamoussoukro aura a nouveau permis de donner des indications structurelles, en vue d’améliorer le Droit des affaires avec la 39e session des experts et ministres des 17 pays membres.
Créée en 1993, l’OHADA s’est attachée depuis, à l’élaboration de textes juridiques pour
l’assainissement du Droit des affaires des 17 pays membres de l’organisation. On peut pèle mêle citer la mise sur pied d’une cour commune d’arbitrage, l’élaboration d’un statut sur l’entreprenariat, la sécurisation des Droits des affaires en vue de contribuer efficacement au développement des pays membres.
A Yamoussoukro, les spécialistes de la question des Droits des affaires ont a nouveau planché sur les textes retouchés au mois de mars 215, date de la dernière session qui a eu lieu Abidjan. Gnénéma Mamadou Coulibaly, le ministre ivoirien de la justice, des droits de l’homme et des libertés publiques et ses pairs ont a nouveau porté des réflexions sur l’amélioration du code qui régit l’OHADA .
Cette session a été rehaussée par la présence de Christine Taubira, Garde des Sceaux, ministre de la Justice de la république française.
Mme Taubira, a apporté une plus value a cette rencontre de Yamoussoukro avec l’expertise de la justice française en matière des Droits des affaires. Le Premier Ministre Daniel Kablan Duncan pour sa part n’a pas manqué de souligner la pertinence de cet outil de développement qu’est l’OHADA, en insistant dans ses propos, à la cérémonie d’ouverture sur cette structure qu’il a qualifiée de ‘’ mécanisme d’intégration juridique, de Droit commun juridique, indispensable au monde des affaires’’, voire au développement de l’Afrique qui aspire à l’émergence.
Yamoussoukro aura a nouveau permis de donner des indications structurelles, en vue d’améliorer le Droit des affaires avec la 39e session des experts et ministres des 17 pays membres.