Yamoussoukro -Le garde des Sceaux ministre de la justice de la République française Christiane Taubira a invité mercredi les pays membres de l’Organisation pour l’harmonisation en Afrique du droit des affaires (OHADA) à ne pas "asphyxier" l’économie informelle qui est un espace de création de richesses, mais à la préserver pour faire vivre les familles.
"Pour ma part, je voulais attirer l’attention sur l’économie informelle qui est aussi un lieu d’inventivité. Il est bon de faire en sorte que l’économie informelle soit encadrée, il faut veiller à ne pas l’assécher", a conseillé Mme Taubira, invitée de la 39è réunion des ministres de l’OHADA ouvert mercredi à Yamoussoukro.
Selon elle, ces économies traditionnelles sont le lieu où "les femmes inventent les activités, s’organisent, font face à la réalité et permettent que des richesses soient créées et constituées pour faire vivre les familles".
"Que ce secteur soit préservé, s’il y a un encadrement qui est prévu, il faudrait qu’il ne soit pas asphyxiant et ne fasse pas que cette économie dynamique souvent récréative ne disparaisse avec son potentiel extrêmement dynamique’’, a insisté la ministre française de la justice.
Ce, afin de permettre aux communautés de continuer à vivre et aux femmes de prendre part à la création de richesse, a-t-elle dit.
"En tout cas la France restera à vos côtés, à l’écoute de ce que vous souhaitez, comme qualité, comme nature, et comme traduction et coopération qui existe sur le plan bilatéral et régional" a rassuré la première responsable de la justice française.
(AIP)
nam/akn/ask
"Pour ma part, je voulais attirer l’attention sur l’économie informelle qui est aussi un lieu d’inventivité. Il est bon de faire en sorte que l’économie informelle soit encadrée, il faut veiller à ne pas l’assécher", a conseillé Mme Taubira, invitée de la 39è réunion des ministres de l’OHADA ouvert mercredi à Yamoussoukro.
Selon elle, ces économies traditionnelles sont le lieu où "les femmes inventent les activités, s’organisent, font face à la réalité et permettent que des richesses soient créées et constituées pour faire vivre les familles".
"Que ce secteur soit préservé, s’il y a un encadrement qui est prévu, il faudrait qu’il ne soit pas asphyxiant et ne fasse pas que cette économie dynamique souvent récréative ne disparaisse avec son potentiel extrêmement dynamique’’, a insisté la ministre française de la justice.
Ce, afin de permettre aux communautés de continuer à vivre et aux femmes de prendre part à la création de richesse, a-t-elle dit.
"En tout cas la France restera à vos côtés, à l’écoute de ce que vous souhaitez, comme qualité, comme nature, et comme traduction et coopération qui existe sur le plan bilatéral et régional" a rassuré la première responsable de la justice française.
(AIP)
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