Abidjan - Le secrétaire général du Syndicat national des agents de la presse privé de Côte d’Ivoire (SYNAPPCI), Guillaume Gbato, qui est sous le coup d’une procédure du Conseil national de la presse (CNP) pour "malversation financière" sur saisine de ses camarades frondeurs, dénonce une "entrave à la liberté syndicale", qu’il considère comme "un sabotage".
"Nous tenons à dénoncer tous les actes de sabotage et de distraction qui tendent à nous tirer vers le bas ; et malheureusement au nombre de ces actions, une procédure illégale intentée par le CNP contre le SG du SYNAPPCI suite aux accusations fantaisistes de l’ancien trésorier du syndicat qui fait partie des camarades radiés", a déclaré M. Gbato, lors d’une conférence de presse, jeudi, dont la déclaration liminaire a été transmise vendredi à l’AIP.
"Tout en élevant une vive protestation contre cette grave atteinte à la liberté syndicale consacrée par la loi fondamentale, les lois nationales et internationales, je tiens cependant à rassurer tous les travailleurs des médias", a ajouté le SG Guillaume Gbato, réélu à son poste le 2 mai lors du 6ème Congrès ordinaire de l’organisation syndicale à Abidjan.
Guillaume Gbato est soupçonné de malversation financière au détriment de SYNAPPCI par certains membres du bureau sortant. Ces derniers, après avoir saisi la justice, ont également saisi le CNP qui s’est dit compétent à statuer sur ce dossier.
Convoqué par l’autorité de régulation du secteur de la presse écrite en Côte d’Ivoire, M. Gbato qui vient de former un nouveau bureau après son élection, n’a pas répondu à cette convocation, qu’il considère comme une "immiscions du pouvoir public dans une affaire interne syndicale".
(AIP)
akn/tm
"Nous tenons à dénoncer tous les actes de sabotage et de distraction qui tendent à nous tirer vers le bas ; et malheureusement au nombre de ces actions, une procédure illégale intentée par le CNP contre le SG du SYNAPPCI suite aux accusations fantaisistes de l’ancien trésorier du syndicat qui fait partie des camarades radiés", a déclaré M. Gbato, lors d’une conférence de presse, jeudi, dont la déclaration liminaire a été transmise vendredi à l’AIP.
"Tout en élevant une vive protestation contre cette grave atteinte à la liberté syndicale consacrée par la loi fondamentale, les lois nationales et internationales, je tiens cependant à rassurer tous les travailleurs des médias", a ajouté le SG Guillaume Gbato, réélu à son poste le 2 mai lors du 6ème Congrès ordinaire de l’organisation syndicale à Abidjan.
Guillaume Gbato est soupçonné de malversation financière au détriment de SYNAPPCI par certains membres du bureau sortant. Ces derniers, après avoir saisi la justice, ont également saisi le CNP qui s’est dit compétent à statuer sur ce dossier.
Convoqué par l’autorité de régulation du secteur de la presse écrite en Côte d’Ivoire, M. Gbato qui vient de former un nouveau bureau après son élection, n’a pas répondu à cette convocation, qu’il considère comme une "immiscions du pouvoir public dans une affaire interne syndicale".
(AIP)
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