Daloa – A la suite des épreuves orales au total 8600 candidats, toutes séries confondues, dont 200 pour le BAC technique, ont entamé, lundi, les épreuves écrites du baccalauréat sous haute surveillance policière dans la région du Haut-Sassandra.
A ces candidats repartis dans 20 centres dont cinq pour la direction départementale de l’éducation nationale et de l’Enseignement Technique(DDENET)d’Issia, la secrétaire générale 2 de préfecture Sanogo Karidia épouse Dao, représentant le préfet de Région et le directeur régional de l’éducation nationale et de l’enseignement technique (DRENET) Sékongo Adama, ont demandé d’éviter la fraude.
'Il s'agit de s’abstenir d'utiliser le téléphone portable en salle de composition ou de toute autre forme de tricherie. Dans la mesure où la recherche de l’excellence, ont-ils dit, est une priorité du gouvernement dans tous les secteurs d’activités, notamment dans celui de l’éducation nationale.
Au lycée Khalil où les autorités ont procédé au lancement des épreuves, dont la première à traiter est le français, il n’y avait rien à signaler, à part le fait que des sources proches de la DRENET faisait état de quelques dysfonctionnements liés au fait que des candidats figurant sur les listings officiels n’auraient pas eu de convocations, alors que d’autres possédant des convocations ne figureraient pas sur ces listings.
yy/akn/ask
A ces candidats repartis dans 20 centres dont cinq pour la direction départementale de l’éducation nationale et de l’Enseignement Technique(DDENET)d’Issia, la secrétaire générale 2 de préfecture Sanogo Karidia épouse Dao, représentant le préfet de Région et le directeur régional de l’éducation nationale et de l’enseignement technique (DRENET) Sékongo Adama, ont demandé d’éviter la fraude.
'Il s'agit de s’abstenir d'utiliser le téléphone portable en salle de composition ou de toute autre forme de tricherie. Dans la mesure où la recherche de l’excellence, ont-ils dit, est une priorité du gouvernement dans tous les secteurs d’activités, notamment dans celui de l’éducation nationale.
Au lycée Khalil où les autorités ont procédé au lancement des épreuves, dont la première à traiter est le français, il n’y avait rien à signaler, à part le fait que des sources proches de la DRENET faisait état de quelques dysfonctionnements liés au fait que des candidats figurant sur les listings officiels n’auraient pas eu de convocations, alors que d’autres possédant des convocations ne figureraient pas sur ces listings.
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