Abidjan - L'UNESCO a félicité le gouvernement ivoirien pour son projet de rendre l’école obligatoire dès l’âge de six ans jusqu’à 16 ans, indique une note du service de communication du ministère de l’éducation nationale et de l’enseignement technique (MENET) , dont l’AIP a reçu copie lundi à Abidjan.
Selon la note, la directrice générale de l’UNESCO, Irina Bokova a félicité la Côte d’Ivoire pour ce projet porté par la ministre Kandia Camara de rendre l’école obligatoire dès l’âge de 6 ans jusqu’à 16 ans sur l’étendue du territoire, lors de la deuxième édition de l’exposition sur "l’Art pour la Paix", présidée par la Première Dame, Dominique Ouattara au siège de l’UNESCO à Paris.
Irina Bokova a en outre, salué "la détermination du peuple ivoirien et de son président, Alassane Ouattara, à perpétuer cette culture de la paix".
Toute chose, a affirmé Mme Bokova qui a poussé l’institution onusienne à s’engager au côté du pays en période de crise pour mettre en en œuvre un programme global en faveur de la stabilisation et la réconciliation.
L’UNESCO a apporté son soutien dans la confection d’un manuel de référence de la CEDEAO sur la paix, les droits humains, la citoyenneté, la démocratie et l’intégration régionale traduit en trois langues locales, le Dioula, le Baoulé et le Guéré.
(AIP)
ik/kam
Selon la note, la directrice générale de l’UNESCO, Irina Bokova a félicité la Côte d’Ivoire pour ce projet porté par la ministre Kandia Camara de rendre l’école obligatoire dès l’âge de 6 ans jusqu’à 16 ans sur l’étendue du territoire, lors de la deuxième édition de l’exposition sur "l’Art pour la Paix", présidée par la Première Dame, Dominique Ouattara au siège de l’UNESCO à Paris.
Irina Bokova a en outre, salué "la détermination du peuple ivoirien et de son président, Alassane Ouattara, à perpétuer cette culture de la paix".
Toute chose, a affirmé Mme Bokova qui a poussé l’institution onusienne à s’engager au côté du pays en période de crise pour mettre en en œuvre un programme global en faveur de la stabilisation et la réconciliation.
L’UNESCO a apporté son soutien dans la confection d’un manuel de référence de la CEDEAO sur la paix, les droits humains, la citoyenneté, la démocratie et l’intégration régionale traduit en trois langues locales, le Dioula, le Baoulé et le Guéré.
(AIP)
ik/kam