Abidjan – Le Conseil national de la presse (CNP) a décidé le "retrait de la carte d’identité de journaliste professionnel de M. Gbato Guillaume pour une durée de six mois" pour des propos "d’une extrême gravité" qui entament "fortement le crédit, l’honorabilité et la respectabilité du CNP".
Dans un communiqué dont l’AIP a reçu copie, jeudi, l’instance de régulation de la presse ivoirienne reproche au secrétaire général du Syndicat national de la presse privée de Côte d’Ivoire (SYNAPPCI) des extraits de propos tenus lors d’une conférence de presse le 11 mai.
Guillaume Gbato aurait dit, entre autres, que "nous tenons à dénoncer tous les actes de sabotage et de distraction qui tendent à nous tirer vers le bas ; et malheureusement au nombre de ces actions, une procédure illégale intentée par le CNP contre le secrétaire général du SYNAPPCI", que "nous sommes déterminés à faire triompher le droit et la loi sur les abus, d’où qu’ils viendront" ou encore que "le CNP n’est pas à son premier abus".
La sanction de M. Gbato constitue un nouvel épisode de l’affaire de dilapidation des dons du Fonds de soutien et de développement de la presse (FSDP), de fausse déclaration sur deux millions de la présidence pour l’organisation du congrès, la vente illicite d’un véhicule du syndicat révélée par le bihebdomadaire L’Eléphant déchainé.
Il dispose d’un délai de 30 jours pour interjeter appel.
aaa/akn/tm
Dans un communiqué dont l’AIP a reçu copie, jeudi, l’instance de régulation de la presse ivoirienne reproche au secrétaire général du Syndicat national de la presse privée de Côte d’Ivoire (SYNAPPCI) des extraits de propos tenus lors d’une conférence de presse le 11 mai.
Guillaume Gbato aurait dit, entre autres, que "nous tenons à dénoncer tous les actes de sabotage et de distraction qui tendent à nous tirer vers le bas ; et malheureusement au nombre de ces actions, une procédure illégale intentée par le CNP contre le secrétaire général du SYNAPPCI", que "nous sommes déterminés à faire triompher le droit et la loi sur les abus, d’où qu’ils viendront" ou encore que "le CNP n’est pas à son premier abus".
La sanction de M. Gbato constitue un nouvel épisode de l’affaire de dilapidation des dons du Fonds de soutien et de développement de la presse (FSDP), de fausse déclaration sur deux millions de la présidence pour l’organisation du congrès, la vente illicite d’un véhicule du syndicat révélée par le bihebdomadaire L’Eléphant déchainé.
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