Abidjan – Le journaliste Zio Moussa et l’enseignant-chercheur, Père Francis Barbey, viennent de publier un essai, "Du journalisme en Côte d’Ivoire", paru en mai chez l’Harmattan, en France, dont ils font la dédicace, jeudi, à la Maison de la presse à Abidjan.
L’ouvrage de 150 pages plonge dans la pratique du journalisme professionnel, le positionnement et la responsabilité du journaliste dans la société qu’il doit comprendre pour aider le citoyen à faire des choix éclairés, a analysé la journaliste Agnès Kraidy, lors de la présentation de l’œuvre.
Le livre peint trois catégories de journalistes : l’apologétique qui est contrôlé et influencé par le pouvoir, le dénonciateur à la critique acerbe du pouvoir et l’indépendant, idéologiquement isolé mais porté par des opérateurs économiques dont les intérêts s’accommodent souvent avec des affinités politiques.
Les auteurs retournent aux fondements de la pratique journalistique, analysent les rapports avec le politique, réaffirment le rôle citoyen du journaliste et font des propositions pour recréer et renforcer le lien social entre les journalistes et les citoyens.
L’idée de son écriture remonte à la non-attribution, en 2013, du prix Ebony récompensant le meilleur journaliste ivoirien.
"J’aime ce livre parce qu’il honore notre profession, parce que nous sommes les acteurs clés de la construction de notre pays, parce que, sans nous, il n’y a pas de démocratie et parce que nous sommes sur la liste restreinte des personnages dont le rôle régule la vie de la nation", a témoigné Agnès Kraidy.
Les auteurs ont invité les journalistes à pratiquer cette "noble" mais dangereuse profession avec passion mais surtout avec une érudition pluridisciplinaire pour comprendre et expliquer un monde en perpétuel mutation.
"Du journalisme en Côte d’Ivoire" est la première publication de la collection "Repenser les médias" des éditions L’Harmattan.
Cette collection propose des ouvrages co-écrits par des journalistes et des spécialistes de divers sujets.
Zio Moussa est journaliste et président de l'Observatoire de la liberté de la presse, de l'éthique et de la déontologie (OLPED) et le Père francis Barbey, directeur de l'Institut supérieur de communication (ISCOM) de l'Université catholique de l'Afrique de l'ouest (UCAO).
aaa/cmas
L’ouvrage de 150 pages plonge dans la pratique du journalisme professionnel, le positionnement et la responsabilité du journaliste dans la société qu’il doit comprendre pour aider le citoyen à faire des choix éclairés, a analysé la journaliste Agnès Kraidy, lors de la présentation de l’œuvre.
Le livre peint trois catégories de journalistes : l’apologétique qui est contrôlé et influencé par le pouvoir, le dénonciateur à la critique acerbe du pouvoir et l’indépendant, idéologiquement isolé mais porté par des opérateurs économiques dont les intérêts s’accommodent souvent avec des affinités politiques.
Les auteurs retournent aux fondements de la pratique journalistique, analysent les rapports avec le politique, réaffirment le rôle citoyen du journaliste et font des propositions pour recréer et renforcer le lien social entre les journalistes et les citoyens.
L’idée de son écriture remonte à la non-attribution, en 2013, du prix Ebony récompensant le meilleur journaliste ivoirien.
"J’aime ce livre parce qu’il honore notre profession, parce que nous sommes les acteurs clés de la construction de notre pays, parce que, sans nous, il n’y a pas de démocratie et parce que nous sommes sur la liste restreinte des personnages dont le rôle régule la vie de la nation", a témoigné Agnès Kraidy.
Les auteurs ont invité les journalistes à pratiquer cette "noble" mais dangereuse profession avec passion mais surtout avec une érudition pluridisciplinaire pour comprendre et expliquer un monde en perpétuel mutation.
"Du journalisme en Côte d’Ivoire" est la première publication de la collection "Repenser les médias" des éditions L’Harmattan.
Cette collection propose des ouvrages co-écrits par des journalistes et des spécialistes de divers sujets.
Zio Moussa est journaliste et président de l'Observatoire de la liberté de la presse, de l'éthique et de la déontologie (OLPED) et le Père francis Barbey, directeur de l'Institut supérieur de communication (ISCOM) de l'Université catholique de l'Afrique de l'ouest (UCAO).
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