Les ex-chefs de guerre inculpés par la justice ivoirienne ont le "moral au beau fixe", a annoncé, vendredi, le Président de l'Assemblée nationale Guillaume Kigbafori Soro.
"(...) En toute circonstance, on se doit de demeurer serein. Par réflexe fraternel, j'ai appelé Chérif, Loss et les autres jeunes officiers. Je peux vous dire et ce, à ma grande satisfaction, ils ont le moral au beau fixe" a déclaré M. Soro dans une note d'information transmise à APA par ses services.
"Ils ont reçu beaucoup d'encouragement et de soutiens de parents, d'amis et ils sont sereins. Moi aussi", a poursuivi le Président de l'Assemblée nationale, par ailleurs ex-leader de la rébellion ivoirienne des Forces nouvelles (2002 à 2011).
L'ex-Commandant de zone de l'ex-rébellion des Forces nouvelles à Bouaké (Nord) Chérif Ousmane ainsi que le Commandant Losséni Fofana dit Loss en poste à Man dans l'Ouest ivoirien, font l'objet de cette mise en examen.
C'est la première fois depuis avril 2011 date de la fin de la crise postélectorale qui a fait plus de 3000 morts, que des hommes ayant soutenu Alassane Ouattara sont poursuivis. Le général Georges Guiai Bi Poin, pilier du système sécuritaire de M. Gbagbo, fait également partie des inculpés.
LS/APA
"(...) En toute circonstance, on se doit de demeurer serein. Par réflexe fraternel, j'ai appelé Chérif, Loss et les autres jeunes officiers. Je peux vous dire et ce, à ma grande satisfaction, ils ont le moral au beau fixe" a déclaré M. Soro dans une note d'information transmise à APA par ses services.
"Ils ont reçu beaucoup d'encouragement et de soutiens de parents, d'amis et ils sont sereins. Moi aussi", a poursuivi le Président de l'Assemblée nationale, par ailleurs ex-leader de la rébellion ivoirienne des Forces nouvelles (2002 à 2011).
L'ex-Commandant de zone de l'ex-rébellion des Forces nouvelles à Bouaké (Nord) Chérif Ousmane ainsi que le Commandant Losséni Fofana dit Loss en poste à Man dans l'Ouest ivoirien, font l'objet de cette mise en examen.
C'est la première fois depuis avril 2011 date de la fin de la crise postélectorale qui a fait plus de 3000 morts, que des hommes ayant soutenu Alassane Ouattara sont poursuivis. Le général Georges Guiai Bi Poin, pilier du système sécuritaire de M. Gbagbo, fait également partie des inculpés.
LS/APA