Une importante délégation du Conseil National de la Presse (CNP), conduite par son président, Monsieur Raphaël Lakpé, a effectué une visite de travail à la Commission Nationale des Droits de l’Homme de Côte d’Ivoire le mardi 22 juillet 2015. Cette délégation a échangé avec Madame Ezouehu Paulette Badjo, présidente de la CNDHCI et des membres du bureau exécutif et le secrétaire général.
Il s’est agi pour les deux parties d’envisager la mise en place d’un cadre de collaboration en vue des élections apaisées en 2015.
Après une présentation de l’organe de régulation qu’il préside, Monsieur Raphaël Lakpé a dressé un état des lieux de la presse ivoirienne.
Il est ressorti de son exposé que s’il est avéré que le CNP, en vertu de son pouvoir coercitif, peut ‘’canaliser’’ les écrits des journalistes, il n’en est pas de même pour les acteurs politiques qui, bien souvent tiennent des discours ‘’incendiaires’’ relayés dans les journaux.
« Si notre mission en temps normal était difficile, il est devenu 4 fois plus difficile en cette période électorale. Les écrits deviennent incendiaires, en raison des propos incendiaires des hommes politiques », a-t-il commenté. D’où l’urgence de la mise en place d’un cadre de collaboration avec la CNDHCI qui, à leurs yeux, peut agir sur les hommes politiques pour des discours apaisés.
A l’issue des échanges, des axes de collaboration ont été dégagés entre les deux structures.
A la grande satisfaction de Madame la présidente de la CNDHCI qui n’entend pas s’arrêter en si bon chemin : « Nous n’allons pas arrêter, là, notre collaboration complémentaire.
Nous allons la poursuivre de manière à ce qu’au terme de nos mandats respectifs, nous puissions laisser à nos successeurs deux institutions fortes au service de l’Etat de Côte d’Ivoire ».
SERCOM
Il s’est agi pour les deux parties d’envisager la mise en place d’un cadre de collaboration en vue des élections apaisées en 2015.
Après une présentation de l’organe de régulation qu’il préside, Monsieur Raphaël Lakpé a dressé un état des lieux de la presse ivoirienne.
Il est ressorti de son exposé que s’il est avéré que le CNP, en vertu de son pouvoir coercitif, peut ‘’canaliser’’ les écrits des journalistes, il n’en est pas de même pour les acteurs politiques qui, bien souvent tiennent des discours ‘’incendiaires’’ relayés dans les journaux.
« Si notre mission en temps normal était difficile, il est devenu 4 fois plus difficile en cette période électorale. Les écrits deviennent incendiaires, en raison des propos incendiaires des hommes politiques », a-t-il commenté. D’où l’urgence de la mise en place d’un cadre de collaboration avec la CNDHCI qui, à leurs yeux, peut agir sur les hommes politiques pour des discours apaisés.
A l’issue des échanges, des axes de collaboration ont été dégagés entre les deux structures.
A la grande satisfaction de Madame la présidente de la CNDHCI qui n’entend pas s’arrêter en si bon chemin : « Nous n’allons pas arrêter, là, notre collaboration complémentaire.
Nous allons la poursuivre de manière à ce qu’au terme de nos mandats respectifs, nous puissions laisser à nos successeurs deux institutions fortes au service de l’Etat de Côte d’Ivoire ».
SERCOM