Abidjan - Le président ivoirien Alassane Ouattara a affirmé mercredi soir à Abidjan que l’élection présidentielle du 25 octobre, cruciale pour la stabilisation du pays après une décennie de crise politico-militaire, se déroulera dans un "climat apaisé".
"Je me suis engagé pour que cette échéance électorale soit libre, ouverte, transparente et démocratique. Je respecterai cet engagement", a déclaré M. Ouattara dans une adresse à la Nation, à la veille de la célébration du 55e anniversaire de l’indépendance de la Côte d’Ivoire de la tutelle française.
Le chef de l’Etat sortant, qui a inscrit mercredi sa candidature auprès de la Commission électorale indépendante (CEI), chargée de l’organisation du scrutin, a promis qu’"aucune entrave ne devra perturber le scrutin".
Pour lui, "toutes les conditions sont réunies pour des élections équitables, justes, dans un climat apaisé".
"J’ai demandé au gouvernement de prendre toutes les mesures nécessaires" pour "assurer la sécurité des Ivoiriens", a poursuivi M. Ouattara, exhortant ses compatriotes "à sortir nombreux pour exprimer (leur) choix.
Le premier tour de l’élection présidentielle en Côte d’Ivoire, a été fixé officiellement au 25 octobre, a annoncé mercredi le gouvernement.
Plus de 300.000 nouveaux électeurs (un nombre bien inférieur aux prévisions) se sont inscrits sur les listes électorales en vue de la présidentielle dont M. Ouattara est le grand favori.
Au total, la liste électorale définitive, dont la publication est attendue fin août, "devrait comporter 6,2 millions d’électeurs environ".
Alors que 5,7 millions de personnes étaient inscrites sur les listes électorales du scrutin de 2010 - 4,6 millions avaient voté -, le dernier recensement de la population, effectué en 2014, faisait état de 8 à 9 millions de majeurs. Soit 2,3 à 3,3 millions de nouveaux électeurs potentiels.
La Côte d’Ivoire vivra en octobre une élection cruciale pour la stabilisation du pays, après la crise post-électorale de 2010-2011, épilogue sanglant d’une décennie de crise politico-militaire.
En 2010-2011, plus de 3.000 Ivoiriens étaient morts en cinq mois de violences causées par le refus de Laurent Gbagbo de reconnaître la victoire d’Alassane Ouattara à la présidentielle de novembre 2010.
ck/myl
"Je me suis engagé pour que cette échéance électorale soit libre, ouverte, transparente et démocratique. Je respecterai cet engagement", a déclaré M. Ouattara dans une adresse à la Nation, à la veille de la célébration du 55e anniversaire de l’indépendance de la Côte d’Ivoire de la tutelle française.
Le chef de l’Etat sortant, qui a inscrit mercredi sa candidature auprès de la Commission électorale indépendante (CEI), chargée de l’organisation du scrutin, a promis qu’"aucune entrave ne devra perturber le scrutin".
Pour lui, "toutes les conditions sont réunies pour des élections équitables, justes, dans un climat apaisé".
"J’ai demandé au gouvernement de prendre toutes les mesures nécessaires" pour "assurer la sécurité des Ivoiriens", a poursuivi M. Ouattara, exhortant ses compatriotes "à sortir nombreux pour exprimer (leur) choix.
Le premier tour de l’élection présidentielle en Côte d’Ivoire, a été fixé officiellement au 25 octobre, a annoncé mercredi le gouvernement.
Plus de 300.000 nouveaux électeurs (un nombre bien inférieur aux prévisions) se sont inscrits sur les listes électorales en vue de la présidentielle dont M. Ouattara est le grand favori.
Au total, la liste électorale définitive, dont la publication est attendue fin août, "devrait comporter 6,2 millions d’électeurs environ".
Alors que 5,7 millions de personnes étaient inscrites sur les listes électorales du scrutin de 2010 - 4,6 millions avaient voté -, le dernier recensement de la population, effectué en 2014, faisait état de 8 à 9 millions de majeurs. Soit 2,3 à 3,3 millions de nouveaux électeurs potentiels.
La Côte d’Ivoire vivra en octobre une élection cruciale pour la stabilisation du pays, après la crise post-électorale de 2010-2011, épilogue sanglant d’une décennie de crise politico-militaire.
En 2010-2011, plus de 3.000 Ivoiriens étaient morts en cinq mois de violences causées par le refus de Laurent Gbagbo de reconnaître la victoire d’Alassane Ouattara à la présidentielle de novembre 2010.
ck/myl