Deux responsables de la coalition pour la sauvegarde du PDCI-RDA en la personne de Adjourouffou Clément et William Koffi ont animé une conférence de presse ce mardi 11 août 2015 à l’hôtel Ibis à Abidjan Plateau .
Les membres de cette coalition ont dans leur déclaration interpellé l’opinion nationale et internationales sur plusieurs points saillants de l’actualité a quelques mois de la présidentielle.
Nous vous proposons l’intégralité de la déclaration du porte parole.
Amies et amis de la presse nationale et internationale, Militantes et militants du PDCI RDA, Membres de la coalition pour la sauvegarde du PDCI RDA, Ivoiriennes mes sœurs, ivoiriens mes frères, La coalition pour la sauvegarde du PDCI RDA, ce jour, voudrait comme de coutume et à des moments importants de la vie de la nation, se prononcer sur l’actualité et apporter modestement à travers des éclairages, sa contribution au débat. Notre cher et beau pays la cote d’ivoire, doit se soustraire, de part les efforts conjugués de sa classe politique, aux railleries et interventions intempestives du reste du monde. Nous faisons le constat que depuis la disparition du sage de Yamoussoukro dont tous se réclament, même ses plus farouches opposants; la probité intellectuelle, la probité morale et la noblesse du caractère ont fuit le champ de l’action politique .notre pays depuis plus de deux décennies présente au monde un visage hideux et peu envié; et nous en voulons pour preuve:
-la mauvaise interprétation de l’article 11de la constitution et la tentative de mise en berne de cette constitution à travers l’instauration d’un conseil d’état en 1993.
-la constitution confligene de juin 1995.
-le coup d’état de 1999 et le débat immonde du ET, du OU. -les élections calamiteuses d’octobre 2000.
- la grande foire aux alouettes qu’a été le forum pour la réconciliation nationale en 2001. -la tentative de coup d’état qui s’est muée en rébellion armée en 2002.
-la longue transition chaotique subie par le peuple de 2002 à 2010.
- les élections contestées d’octobre et novembre 2010. -la très sanglante crise post électorale de décembre 2010 à avril 2011 avec son lot de pillages, d’exilés et de morts inutiles. Les populations dignes de cote d’ivoire en général et la jeunesse en particulier a trop souffert de l’égoïsme et de l’incohérence de sa classe politique ; et cela doit prendre fin. Depuis la fin de la crise post électorale, les prémices d’une nouvelle ère, si tout n’est pas parfait semblent se mettre en place. La vie sociale et politique malgré les vicissitudes et les conjonctures pas toujours favorables se normalise. La jeunesse croit en la démocratie et reprend espoir en ses institutions même si parfois les hommes qui les incarnent sont accompagnés de préjugés défavorables. Ces jours ci, un débat malsain, inadéquat et qui ne peut prospérer au sein de nos braves populations, porter par une certaine catégorie d’hommes politiques déconnectés des réalités de leurs concitoyens, s’est ouvert sur l’article 35 de notre loi fondamentale. Et une hasardeuse transition qui devrait l’accompagner. Notre historique opposition à l’appel dit de Daoukro ne fait pas des membres de la coalition pour la sauvegarde du PDCI RDA des pêcheurs en eaux troubles. Le président HOUPHOUET BOIGNY nous enseignait que là où les grands intérêts de la nation (cohésion sociale, concorde sociale, paix et développement durable) sont en jeu, l’amour propre et l’orgueil n’ont point de place. Une transition pourquoi faire et dans quel format ? Alors que toutes les institutions de la république fonctionnent normalement et que certains aujourd’hui partisans d’une transition en ont dirigé des démembrements. Les membres de la coalition sont des adeptes de l’aventure, mais ils gardent toute leur lucidité pour ne pas être candidats au suicide. Une énième transition serait inopérante et dommageable pour la démocratie ; elle sera plutôt la porte ouverte à la déstabilisation et aux troubles. Cela nous le croyons sincèrement, la jeunesse n’en veut plus.
La politique pour nous à pour objectifs de juguler les inégalités, d’améliorer les conditions matérielles et morales des vaillantes populations. La coalition se propose les tous prochains jours d’organiser des conférences débats, des caravanes de sensibilisations et toutes autres activités qui pourront concourir, nonobstant la campagne du candidat qu’elle aura à mener, à l’édification d’un climat apaisé pour des élections démocratiques et transparentes aux dates constitutionnelles.
Vive la démocratie pour que vive une cote d’ivoire stable et prospère au service d’une jeunesse active et a la tâche. Dieu bénisse la cote d’ivoire Je vous remercie.
Pour la coalition pour la sauvegarde du PDCI,
Le porte parole Clement S Adjourouffou
Les membres de cette coalition ont dans leur déclaration interpellé l’opinion nationale et internationales sur plusieurs points saillants de l’actualité a quelques mois de la présidentielle.
Nous vous proposons l’intégralité de la déclaration du porte parole.
Amies et amis de la presse nationale et internationale, Militantes et militants du PDCI RDA, Membres de la coalition pour la sauvegarde du PDCI RDA, Ivoiriennes mes sœurs, ivoiriens mes frères, La coalition pour la sauvegarde du PDCI RDA, ce jour, voudrait comme de coutume et à des moments importants de la vie de la nation, se prononcer sur l’actualité et apporter modestement à travers des éclairages, sa contribution au débat. Notre cher et beau pays la cote d’ivoire, doit se soustraire, de part les efforts conjugués de sa classe politique, aux railleries et interventions intempestives du reste du monde. Nous faisons le constat que depuis la disparition du sage de Yamoussoukro dont tous se réclament, même ses plus farouches opposants; la probité intellectuelle, la probité morale et la noblesse du caractère ont fuit le champ de l’action politique .notre pays depuis plus de deux décennies présente au monde un visage hideux et peu envié; et nous en voulons pour preuve:
-la mauvaise interprétation de l’article 11de la constitution et la tentative de mise en berne de cette constitution à travers l’instauration d’un conseil d’état en 1993.
-la constitution confligene de juin 1995.
-le coup d’état de 1999 et le débat immonde du ET, du OU. -les élections calamiteuses d’octobre 2000.
- la grande foire aux alouettes qu’a été le forum pour la réconciliation nationale en 2001. -la tentative de coup d’état qui s’est muée en rébellion armée en 2002.
-la longue transition chaotique subie par le peuple de 2002 à 2010.
- les élections contestées d’octobre et novembre 2010. -la très sanglante crise post électorale de décembre 2010 à avril 2011 avec son lot de pillages, d’exilés et de morts inutiles. Les populations dignes de cote d’ivoire en général et la jeunesse en particulier a trop souffert de l’égoïsme et de l’incohérence de sa classe politique ; et cela doit prendre fin. Depuis la fin de la crise post électorale, les prémices d’une nouvelle ère, si tout n’est pas parfait semblent se mettre en place. La vie sociale et politique malgré les vicissitudes et les conjonctures pas toujours favorables se normalise. La jeunesse croit en la démocratie et reprend espoir en ses institutions même si parfois les hommes qui les incarnent sont accompagnés de préjugés défavorables. Ces jours ci, un débat malsain, inadéquat et qui ne peut prospérer au sein de nos braves populations, porter par une certaine catégorie d’hommes politiques déconnectés des réalités de leurs concitoyens, s’est ouvert sur l’article 35 de notre loi fondamentale. Et une hasardeuse transition qui devrait l’accompagner. Notre historique opposition à l’appel dit de Daoukro ne fait pas des membres de la coalition pour la sauvegarde du PDCI RDA des pêcheurs en eaux troubles. Le président HOUPHOUET BOIGNY nous enseignait que là où les grands intérêts de la nation (cohésion sociale, concorde sociale, paix et développement durable) sont en jeu, l’amour propre et l’orgueil n’ont point de place. Une transition pourquoi faire et dans quel format ? Alors que toutes les institutions de la république fonctionnent normalement et que certains aujourd’hui partisans d’une transition en ont dirigé des démembrements. Les membres de la coalition sont des adeptes de l’aventure, mais ils gardent toute leur lucidité pour ne pas être candidats au suicide. Une énième transition serait inopérante et dommageable pour la démocratie ; elle sera plutôt la porte ouverte à la déstabilisation et aux troubles. Cela nous le croyons sincèrement, la jeunesse n’en veut plus.
La politique pour nous à pour objectifs de juguler les inégalités, d’améliorer les conditions matérielles et morales des vaillantes populations. La coalition se propose les tous prochains jours d’organiser des conférences débats, des caravanes de sensibilisations et toutes autres activités qui pourront concourir, nonobstant la campagne du candidat qu’elle aura à mener, à l’édification d’un climat apaisé pour des élections démocratiques et transparentes aux dates constitutionnelles.
Vive la démocratie pour que vive une cote d’ivoire stable et prospère au service d’une jeunesse active et a la tâche. Dieu bénisse la cote d’ivoire Je vous remercie.
Pour la coalition pour la sauvegarde du PDCI,
Le porte parole Clement S Adjourouffou