Depuis le 1er juin 2015, la Commission électorale indépendante a lancé le processus de révision de la liste électorale. Ce lancement a été suivi par la publication de la liste provisoire le 25 juillet 2015 et l’ouverture officielle du contentieux de l’inscription sur la liste électorale qui suit son cours. La CEI a, par ailleurs, ouvert la réception des candidatures le lundi 03 août 2015. Cette opération se poursuivra jusqu’au 25 août 2015, conformément au code électoral.
La CPC se réjouit du bon déroulement de l’ensemble de ce processus et tient à féliciter la CEI pour le travail effectué conformément à sa mission. Elle voudrait saluer l’esprit démocratique qui prévaut et qui se manifeste par la pluralité des candidats à l’élection présidentielle à venir. Cet engagement marque la volonté générale des Ivoiriens de s’inscrire résolument dans la consolidation de la démocratie et le respect de l’État de droit.
Par contre, la CPC s’étonne qu’à deux mois de cette échéance importante de la vie de notre pays, des actions et propos visant à mettre en mal la cohésion sociale et à perturber le processus électoral soient posés et tenus par un groupuscule d’individus réunis au sein d’une coalition dite nationale et prétendument pour le changement.
À ce propos, devant la confusion créée entre la Coalition Pour le Changement (CPC) et la CNC ; la CPC a décidé de traduire devant les tribunaux Monsieur Charles Konan Banny président de la CNC et tous les initiateurs de cette coalition afin d’obtenir la fin de confusion créée avec la CPC. Étant donné qu’il est de notoriété publique que la Coalition Pour le Changement existe depuis le 23 septembre 2009, elle ne saurait donc tolérer l’utilisation d’un nom pouvant créer une confusion avec elle.
De même, dans leur volonté de déstabiliser la Côte d’Ivoire, certains acteurs politiques dont monsieur Charles Konan Banny, président de la cnc, ont décidé de reprendre à leur compte les discours ivoiritaires, xénophobes, et réveiller les vieux démons qui ont été à la base du drame ivoirien dans un passé récent, cela traduit leur manque de vision politique et d’un projet véritable pour la Côte d’Ivoire.
Les membres de cette coalition et d’autres acteurs politiques sans légitimité appellent à une transition. Il s’agit de préparer ainsi la communauté nationale et internationale à l’idée d’un boycott de la future élection présidentielle au cours de laquelle ils se savent déjà battus.
La CPC voudrait rappeler que la Côte d’Ivoire n’est plus en crise pour qu’une transition y soit instaurée. Toutes les institutions fonctionnent normalement. Le gouvernement est au travail pour le bonheur des populations, la paix est revenue, la cohésion sociale retrouvée et les performances économiques sont appréciées de tous y compris la communauté internationale. Dans un tel contexte parler de transition c’est faire preuve d’irresponsabilité politique.
La CPC voudrait inviter la communauté internationale qui a été au côté de la Côte d’Ivoire pour la sortie de crise, la restauration de la démocratie, et la consolidation de la paix et de la cohésion sociale à travers l’ONUCI et les représentations diplomatiques à interpeller ces acteurs politiques de l’opposition en les exhortant à poser des actes ou tenir des propos allant dans le sens de la cohésion sociale et s’inscrire résolument dans le processus démocratique
La CPC félicite la CEI dans ces efforts pour organiser des élections démocratiques ouvertes et transparentes.
La CPC encourage le gouvernement dans sa volonté de prendre toutes les mesures nécessaires pour des élections apaisées afin de permettre à chaque Ivoirien d’aller s’exprimer librement dans les urnes.
La CPC invite la justice à appliquer de façon rigoureuse la loi contre la xénophobie, les actes ou propos de haines ethniques, raciales ou religieuses, votée par notre parlement.
Pour dénoncer le retour aux thèses excursionnistes , xénophobes et rétrogrades qui ont été à la base du drame ivoirien, la CPC invite tous les ivoiriens, toutes les organisations politiques et de la société civile à un grand meeting le 29 août 2015 à la place inch’Allah de koumassi.
Ce meeting auquel nous invitons tous les ivoiriens sera le lieu de réaffirmer notre soutien à une côte d'ivoire réconciliée et démocratique.
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Fait à Abidjan le 18 août 2015
Pour la CPC le vice président porte parole
Loukou Jeannot
La CPC se réjouit du bon déroulement de l’ensemble de ce processus et tient à féliciter la CEI pour le travail effectué conformément à sa mission. Elle voudrait saluer l’esprit démocratique qui prévaut et qui se manifeste par la pluralité des candidats à l’élection présidentielle à venir. Cet engagement marque la volonté générale des Ivoiriens de s’inscrire résolument dans la consolidation de la démocratie et le respect de l’État de droit.
Par contre, la CPC s’étonne qu’à deux mois de cette échéance importante de la vie de notre pays, des actions et propos visant à mettre en mal la cohésion sociale et à perturber le processus électoral soient posés et tenus par un groupuscule d’individus réunis au sein d’une coalition dite nationale et prétendument pour le changement.
À ce propos, devant la confusion créée entre la Coalition Pour le Changement (CPC) et la CNC ; la CPC a décidé de traduire devant les tribunaux Monsieur Charles Konan Banny président de la CNC et tous les initiateurs de cette coalition afin d’obtenir la fin de confusion créée avec la CPC. Étant donné qu’il est de notoriété publique que la Coalition Pour le Changement existe depuis le 23 septembre 2009, elle ne saurait donc tolérer l’utilisation d’un nom pouvant créer une confusion avec elle.
De même, dans leur volonté de déstabiliser la Côte d’Ivoire, certains acteurs politiques dont monsieur Charles Konan Banny, président de la cnc, ont décidé de reprendre à leur compte les discours ivoiritaires, xénophobes, et réveiller les vieux démons qui ont été à la base du drame ivoirien dans un passé récent, cela traduit leur manque de vision politique et d’un projet véritable pour la Côte d’Ivoire.
Les membres de cette coalition et d’autres acteurs politiques sans légitimité appellent à une transition. Il s’agit de préparer ainsi la communauté nationale et internationale à l’idée d’un boycott de la future élection présidentielle au cours de laquelle ils se savent déjà battus.
La CPC voudrait rappeler que la Côte d’Ivoire n’est plus en crise pour qu’une transition y soit instaurée. Toutes les institutions fonctionnent normalement. Le gouvernement est au travail pour le bonheur des populations, la paix est revenue, la cohésion sociale retrouvée et les performances économiques sont appréciées de tous y compris la communauté internationale. Dans un tel contexte parler de transition c’est faire preuve d’irresponsabilité politique.
La CPC voudrait inviter la communauté internationale qui a été au côté de la Côte d’Ivoire pour la sortie de crise, la restauration de la démocratie, et la consolidation de la paix et de la cohésion sociale à travers l’ONUCI et les représentations diplomatiques à interpeller ces acteurs politiques de l’opposition en les exhortant à poser des actes ou tenir des propos allant dans le sens de la cohésion sociale et s’inscrire résolument dans le processus démocratique
La CPC félicite la CEI dans ces efforts pour organiser des élections démocratiques ouvertes et transparentes.
La CPC encourage le gouvernement dans sa volonté de prendre toutes les mesures nécessaires pour des élections apaisées afin de permettre à chaque Ivoirien d’aller s’exprimer librement dans les urnes.
La CPC invite la justice à appliquer de façon rigoureuse la loi contre la xénophobie, les actes ou propos de haines ethniques, raciales ou religieuses, votée par notre parlement.
Pour dénoncer le retour aux thèses excursionnistes , xénophobes et rétrogrades qui ont été à la base du drame ivoirien, la CPC invite tous les ivoiriens, toutes les organisations politiques et de la société civile à un grand meeting le 29 août 2015 à la place inch’Allah de koumassi.
Ce meeting auquel nous invitons tous les ivoiriens sera le lieu de réaffirmer notre soutien à une côte d'ivoire réconciliée et démocratique.
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Fait à Abidjan le 18 août 2015
Pour la CPC le vice président porte parole
Loukou Jeannot