Abidjan - Le Secrétaire général permanent du Forum des souverains et leaders traditionnels d’Afrique, Jean Gervais Tchiffi Zié a appelé, jeudi, les différents candidats à l’élection présidentielle ivoirienne du 25 octobre prochain à présenter à leurs compatriotes, un «programme de développement » de la Côte d’Ivoire et non des «injures».
« Il faut que les fils et filles de la Côte d'Ivoire comprennent que la Côte d'Ivoire n'appartient pas à une seule personne. La Côte d'Ivoire appartient à tout le monde. Il faut que tout le monde soit ensemble. Il ne faut pas faire des exclusions », a soutenu Tchiffi Zié dans « l'interview de la semaine » diffusée par la Radio, la Voix de l'Allemagne.
« Il est temps d'apprendre à vivre ensemble », a insisté le Secrétaire général permanent du Forum des souverains et leaders traditionnels d'Afrique, selon qui « il est important que les politiciens s'entendent ».
Pour lui, les politiciens se battent tous pour le même objectif. « Qu'ils comprennent que ce pourquoi, ils veulent être candidats, ce n'est pas pour injurier quelqu'un. Ce n'est pour aller contre quelqu'un. C'est pour présenter un programme de développement de la Côte d'Ivoire », a expliqué Tchiffi Zié.
« Je pense qu'à ce titre, s'ils comprennent bien la démocratie, je suis sûr que nous pouvons nous en sortir. Il est important qu'il ait des élections dans un pays parce que sans élections c'est le désordre », a poursuivi M. Zié, concluant qu' « aujourd'hui, il va falloir faire table rase sur tous les problèmes et essayer de rassembler la famille ivoirienne ».
Le corps électoral ivoirien est convoqué le dimanche 25 octobre prochain pour élire le président de la République. Ce jeudi, le Président statutaire du Front populaire ivoirien (FPI), Pascal Affi N'guessan «combattu» par des « frondeurs » de son parti menés par Abou Drahamane Sangaré, a déposé son dossier de candidature à la Commission électorale indépendante (CEI).
Il est ainsi devenu le dixième citoyen à faire acte de candidature après Bolou Gouali Eloi, Alassane Ouattara, Siméon Konan Kouadio, Henriette Lagou, Nanan Koua Gnamantê, Ahoua Stallone, Adama Ouattara, Norbert Israël N'Goran Koffi et Bernadin Yobo Nago.
Dans un communiqué appelant au boycott de l'élection présidentielle, cette tendance qui pense que les conditions d'une élection présidentielle ne sont pas encore réunies avec l'ex-Chef de l'Etat Laurent Gbagbo en prison à la Haye, a mis en garde, lundi, «quiconque prétendrait se présenter à l'élection présidentielle frauduleusement au nom ou sous la bannière du FPI ». Ouverte le 3 août dernier, cette phase de dépôt des candidatures prend fin le 25 août 2015.
LS/hs/APA
« Il faut que les fils et filles de la Côte d'Ivoire comprennent que la Côte d'Ivoire n'appartient pas à une seule personne. La Côte d'Ivoire appartient à tout le monde. Il faut que tout le monde soit ensemble. Il ne faut pas faire des exclusions », a soutenu Tchiffi Zié dans « l'interview de la semaine » diffusée par la Radio, la Voix de l'Allemagne.
« Il est temps d'apprendre à vivre ensemble », a insisté le Secrétaire général permanent du Forum des souverains et leaders traditionnels d'Afrique, selon qui « il est important que les politiciens s'entendent ».
Pour lui, les politiciens se battent tous pour le même objectif. « Qu'ils comprennent que ce pourquoi, ils veulent être candidats, ce n'est pas pour injurier quelqu'un. Ce n'est pour aller contre quelqu'un. C'est pour présenter un programme de développement de la Côte d'Ivoire », a expliqué Tchiffi Zié.
« Je pense qu'à ce titre, s'ils comprennent bien la démocratie, je suis sûr que nous pouvons nous en sortir. Il est important qu'il ait des élections dans un pays parce que sans élections c'est le désordre », a poursuivi M. Zié, concluant qu' « aujourd'hui, il va falloir faire table rase sur tous les problèmes et essayer de rassembler la famille ivoirienne ».
Le corps électoral ivoirien est convoqué le dimanche 25 octobre prochain pour élire le président de la République. Ce jeudi, le Président statutaire du Front populaire ivoirien (FPI), Pascal Affi N'guessan «combattu» par des « frondeurs » de son parti menés par Abou Drahamane Sangaré, a déposé son dossier de candidature à la Commission électorale indépendante (CEI).
Il est ainsi devenu le dixième citoyen à faire acte de candidature après Bolou Gouali Eloi, Alassane Ouattara, Siméon Konan Kouadio, Henriette Lagou, Nanan Koua Gnamantê, Ahoua Stallone, Adama Ouattara, Norbert Israël N'Goran Koffi et Bernadin Yobo Nago.
Dans un communiqué appelant au boycott de l'élection présidentielle, cette tendance qui pense que les conditions d'une élection présidentielle ne sont pas encore réunies avec l'ex-Chef de l'Etat Laurent Gbagbo en prison à la Haye, a mis en garde, lundi, «quiconque prétendrait se présenter à l'élection présidentielle frauduleusement au nom ou sous la bannière du FPI ». Ouverte le 3 août dernier, cette phase de dépôt des candidatures prend fin le 25 août 2015.
LS/hs/APA