Abidjan - Des comités nationaux de Croix Rouge de 13 pays de la Communauté des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), au terme d’un forum à Abidjan, sur l’utilisation de la technologie mobile pour la réponse humanitaire dans cette région, se sont engagés, jeudi, à expérimenter le système "Tera" dans leurs différentes actions humanitaires.
Lors d’un point de presse, co-aminé par les responsables des parties impliquées dans ce projet, ils ont expliqué le fonctionnement de "Tera", cette "solution technologique révolutionnaire" qui est en réalité une plate-forme de communication basée sur l’envoi de messages courts (SMS) à partir de la localisation géographique des personnes touchées par des catastrophes.
Selon le représentant régional de la Fédération internationale de la Croix rouge et du croissant rouge (FICR), Daniel Sahi, ce système a déjà été expérimenté en Haïti en temps de sinistres et a connu beaucoup de succès grâce à la société Salamanca solutions international qui a développé ce système et qui entend le vulgariser dans plusieurs contrées du monde.
Aussi, son importation dans cette partie du continent régulièrement touchée par des catastrophes et des pandémies dont la maladie à virus Ebola, pourr ait assurer le relais des volontaires des organisations humanitaires habitués aux "portes à portes" et atteindre ainsi un grand nombre de personnes concernées et sauver des vies humaines.
Cette rencontre visait trois objectifs à savoir comment travailler en concertation pour améliorer l’assistance humanitaire des 13 pays de la CEDEAO, explorer les opportunités pour améliorer la coordination entre les parties prenantes, et enfin voir comment déployer le système "Tera" dans lesdits pays afin de donner une dimension un peu plus professionnelle à la prévention, à la réponse aux catastrophes mais pour les prélèvements.
Débutée mercredi, cette réunion a eu pour cadre l’Hôtel Pullman d’Abidjan-Plateau. Elle a vu la participation des représentants de la CEDEAO, de la Croix Ro uge et des opérateurs de téléphonies mobiles et de l’Union Européenne qui était le partenaire financier, rappelle-t-on.
(AIP)
fmo/akn/kam
Lors d’un point de presse, co-aminé par les responsables des parties impliquées dans ce projet, ils ont expliqué le fonctionnement de "Tera", cette "solution technologique révolutionnaire" qui est en réalité une plate-forme de communication basée sur l’envoi de messages courts (SMS) à partir de la localisation géographique des personnes touchées par des catastrophes.
Selon le représentant régional de la Fédération internationale de la Croix rouge et du croissant rouge (FICR), Daniel Sahi, ce système a déjà été expérimenté en Haïti en temps de sinistres et a connu beaucoup de succès grâce à la société Salamanca solutions international qui a développé ce système et qui entend le vulgariser dans plusieurs contrées du monde.
Aussi, son importation dans cette partie du continent régulièrement touchée par des catastrophes et des pandémies dont la maladie à virus Ebola, pourr ait assurer le relais des volontaires des organisations humanitaires habitués aux "portes à portes" et atteindre ainsi un grand nombre de personnes concernées et sauver des vies humaines.
Cette rencontre visait trois objectifs à savoir comment travailler en concertation pour améliorer l’assistance humanitaire des 13 pays de la CEDEAO, explorer les opportunités pour améliorer la coordination entre les parties prenantes, et enfin voir comment déployer le système "Tera" dans lesdits pays afin de donner une dimension un peu plus professionnelle à la prévention, à la réponse aux catastrophes mais pour les prélèvements.
Débutée mercredi, cette réunion a eu pour cadre l’Hôtel Pullman d’Abidjan-Plateau. Elle a vu la participation des représentants de la CEDEAO, de la Croix Ro uge et des opérateurs de téléphonies mobiles et de l’Union Européenne qui était le partenaire financier, rappelle-t-on.
(AIP)
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