Abidjan – Journalistes et chercheurs ivoiriens ont échangé vendredi à Abidjan sur les conditions d’une meilleure collaboration en vue de la promotion des résultats de la recherche scientifique.
Sur l’initiative de l’ONG anglaise Science développement network (SCIDEV.NET) et du Centre suisse de Recherche scientifique (CSRS) les deux parties ont étudié les conditions pour "améliorer la communication de la recherche scientifique en rassemblant les communautés de la recherche et des médias", dont principalement l’Agence ivoirienne de presse (AIP).
Réunis au sein du CSRS, à Yopougon, les chercheurs ont marqué leur intérêt pour l’établissement d’un réseau avec les journalistes pour maximiser l’impact des résultats de leurs recherches pour le développement socio-économique et la lutte contre la pauvreté.
Selon le directeur du CSRS, Pr Bassirou Bonfoh, les journalistes doivent se cultiver et se spécialiser pour mieux appréhender les questions scientifiques pour en faire le meilleur rendu possible.
"Ce n’est pas le travail du chercheur d’utiliser les résultats de ses recherches mais il appartient aux utilisateurs et décideurs d’aller vers le chercheur pour améliorer leurs performances ou répondre aux besoins des populations auxquelles répondent les résultats qu’ils ont obtenus", a-t-il soutenu.
Le journaliste et le chercheur doivent prendre le temps d’échanger et valider ensemble l’article avant sa publication, a-t-il conseillé.
Une franche collaboration entre journalistes et chercheurs devrait, en effet, créer un climat propice à la vulgarisation de l’information scientifique au profit des décideurs et des populations.
Une coproduction d’articles dédiés à la science et à la technologie offrira une visibilité à l’international aux travaux scientifiques sur la plateforme de SCIDEV.NET et une cible appropriée, l’ONG anglaise visant principalement les décideurs, la communauté scientifique et un plus large public.
Les chercheurs ivoiriens parviennent à beaucoup et d’intéressants résultats qui ne sont pas exploités, a déploré le directeur de la recherche et du développement du centre suisse, Inza Koné.
A son avis, le monde des chercheurs et celui des décideurs coexistent sans se connaître, sans interaction. Il a salué la mise en place d’une passerelle, les journalistes, pour les sensibiliser et influencer leurs décisions pour la vulgarisation et la valorisation de leurs travaux.
(AIP)
aaa/akn/tm
Sur l’initiative de l’ONG anglaise Science développement network (SCIDEV.NET) et du Centre suisse de Recherche scientifique (CSRS) les deux parties ont étudié les conditions pour "améliorer la communication de la recherche scientifique en rassemblant les communautés de la recherche et des médias", dont principalement l’Agence ivoirienne de presse (AIP).
Réunis au sein du CSRS, à Yopougon, les chercheurs ont marqué leur intérêt pour l’établissement d’un réseau avec les journalistes pour maximiser l’impact des résultats de leurs recherches pour le développement socio-économique et la lutte contre la pauvreté.
Selon le directeur du CSRS, Pr Bassirou Bonfoh, les journalistes doivent se cultiver et se spécialiser pour mieux appréhender les questions scientifiques pour en faire le meilleur rendu possible.
"Ce n’est pas le travail du chercheur d’utiliser les résultats de ses recherches mais il appartient aux utilisateurs et décideurs d’aller vers le chercheur pour améliorer leurs performances ou répondre aux besoins des populations auxquelles répondent les résultats qu’ils ont obtenus", a-t-il soutenu.
Le journaliste et le chercheur doivent prendre le temps d’échanger et valider ensemble l’article avant sa publication, a-t-il conseillé.
Une franche collaboration entre journalistes et chercheurs devrait, en effet, créer un climat propice à la vulgarisation de l’information scientifique au profit des décideurs et des populations.
Une coproduction d’articles dédiés à la science et à la technologie offrira une visibilité à l’international aux travaux scientifiques sur la plateforme de SCIDEV.NET et une cible appropriée, l’ONG anglaise visant principalement les décideurs, la communauté scientifique et un plus large public.
Les chercheurs ivoiriens parviennent à beaucoup et d’intéressants résultats qui ne sont pas exploités, a déploré le directeur de la recherche et du développement du centre suisse, Inza Koné.
A son avis, le monde des chercheurs et celui des décideurs coexistent sans se connaître, sans interaction. Il a salué la mise en place d’une passerelle, les journalistes, pour les sensibiliser et influencer leurs décisions pour la vulgarisation et la valorisation de leurs travaux.
(AIP)
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