Yamoussoukro, Le groupe scolaire "Morofè 3 et 5" de Yamoussoukro (centre, capitale politique) a été cambriolé pour la troisième fois en une semaine par des individus non identifiés qui ont emporté toute l’installation électrique et le matériel didactique.
Le groupe scolaire, excentré dans le sous-quartier N’Klo Ahidjo de Morofé, a été visité durant trois jours successifs par des bandits qui ont escaladé la clôture avant d’entrer par effraction dans les salles de classe en forçant les portes et fenêtres.
Les malfrats, profitant des temps de vacances et du manque de vigile dans l’école, ont "minutieusement" fouillé les classes et les bureaux des maîtres du primaire et de la maternelle.
Ils ont saboté toutes les installations électriques, en mettant tout sens dessus dessous puis vidé le contenu des mallettes didactiques de l’école maternelle, avant d’emporter les boites électriques de grande valeur, des fils & eacute;lectriques et des ampoules.
Plusieurs autres ampoules ont été détachées de leurs installations et jetées sur place. Les tables-bancs, les portes et fenêtres des classes ont été cassés et les bureaux saccagés.
"C’est un acte de sabotage", a fait remarquer, dimanche, dans l’enceinte du groupe scolaire, l’inspecteur de l’enseignement primaire de Yamoussoukro, Mme Hortense Lilahan, venue constater les dégâts subis par le groupe scolaire, accompagnée de ses collaborateurs.
Mme l’inspecteur a dit ne pas comprendre l’agissement des cambrioleurs qui ont réduit le groupe scolaire "déjà en difficulté, en amas de ruines", puisque, selon Mme Lilahan, l’école a été victime de nombreux vols durant l’année scolaire écoulé e.
Aussi, a-t-elle lancé un appel aux populations à s’impliquer dans la protection du groupe scolaire "Morofè 3 et 5" pour le bonheur des enfants.
"Malgré le constat d’usage dès les premiers vols par la police qui a ouvert une enquête, les malfrats continuent de piller l’école", a déploré le président du comité de gestion des établissements scolaires (Coges), Jean Djéwouli, qui a décidé de jouer le rôle de vigile pour dissuader les larrons en attendant qu’une solution soit trouvée pour contrer les bandits.
(AIP)
nam/akn/kp
Le groupe scolaire, excentré dans le sous-quartier N’Klo Ahidjo de Morofé, a été visité durant trois jours successifs par des bandits qui ont escaladé la clôture avant d’entrer par effraction dans les salles de classe en forçant les portes et fenêtres.
Les malfrats, profitant des temps de vacances et du manque de vigile dans l’école, ont "minutieusement" fouillé les classes et les bureaux des maîtres du primaire et de la maternelle.
Ils ont saboté toutes les installations électriques, en mettant tout sens dessus dessous puis vidé le contenu des mallettes didactiques de l’école maternelle, avant d’emporter les boites électriques de grande valeur, des fils & eacute;lectriques et des ampoules.
Plusieurs autres ampoules ont été détachées de leurs installations et jetées sur place. Les tables-bancs, les portes et fenêtres des classes ont été cassés et les bureaux saccagés.
"C’est un acte de sabotage", a fait remarquer, dimanche, dans l’enceinte du groupe scolaire, l’inspecteur de l’enseignement primaire de Yamoussoukro, Mme Hortense Lilahan, venue constater les dégâts subis par le groupe scolaire, accompagnée de ses collaborateurs.
Mme l’inspecteur a dit ne pas comprendre l’agissement des cambrioleurs qui ont réduit le groupe scolaire "déjà en difficulté, en amas de ruines", puisque, selon Mme Lilahan, l’école a été victime de nombreux vols durant l’année scolaire écoulé e.
Aussi, a-t-elle lancé un appel aux populations à s’impliquer dans la protection du groupe scolaire "Morofè 3 et 5" pour le bonheur des enfants.
"Malgré le constat d’usage dès les premiers vols par la police qui a ouvert une enquête, les malfrats continuent de piller l’école", a déploré le président du comité de gestion des établissements scolaires (Coges), Jean Djéwouli, qui a décidé de jouer le rôle de vigile pour dissuader les larrons en attendant qu’une solution soit trouvée pour contrer les bandits.
(AIP)
nam/akn/kp