Les journalistes ivoiriens ont été invités, mardi, à Abidjan à l’ouverture d’une session de formation de quatre jours initiée par l’Union des radios de proximité de Côte d’Ivoire (URPCI) avec le soutien de l’Union européenne et l’institut Panos pour l’Afrique de l’ouest, à plus de responsabilité dans le traitement de l’information durant tout le processus électoral.
« Les médias ont été pour beaucoup dans cette la crise qu'a connue le pays. Ils ont arrosé les populations avec des informations tronquées qui ont contribuées à radicaliser la population », a regretté Ladji Sidibé, Conseiller Technique au ministère de la communication dans un message du ministre de la communication, Affoussiata Bamba-Lamine, suggérant que «les médias assurent le rôle de gendarme du processus électoral».
Il a également recommandé aux journalistes de «travailler avec responsabilité et professionnalisme afin de garantir le succès des futurs élections et renforcer la cohésion sociale ».
Le représentant de l'Union européenne en Côte d'Ivoire, Jean-François Valette s'est pour sa part réjoui du nombre de candidats enregistrés à la Commission électorale indépendante (CEI), une trentaine.
« Le nombre de candidature reflète du dynamisme de la société ivoirienne. Nous avons confiance que cette élection sera un succès car elle va contribuer à un retour d'une société plus apaisée, plus cohérente », a espéré le diplomate Jean François Valette.
Le président de l'Union des radios de proximité (URPCI), Karamoko Bamba qui revendique plus de 150 radios de proximité a rappelé à ses mandants qu'ils sont au cœur de la communauté. « Vous pouvez influencer positivement ou négativement le cour des élections », a-t-il lancé.
Cette formation intervient dans le cadre du projet «Femmes et médias, partenaires pour une meilleure gouvernance en Afrique de l'ouest » de l'institut Panos de l'Afrique de l'ouest.
La connaissance de l'institution en charge des élections en Côte d'Ivoire, la liberté d'expression, le cadre juridique des élections sont entre autres les thèmes, au menu de cette formation.
Pour un meilleur traitement de l'information au cours du processus électoral, de nombreuses sessions de formation sont initiées à l'intention des journalistes et animateurs de médias. Les médias ivoiriens ont été pointés du doigt par de nombreux observateurs comme des amplificateurs de la crise née de la dernière élection présidentielle de 2010.
SY/ls/APA
« Les médias ont été pour beaucoup dans cette la crise qu'a connue le pays. Ils ont arrosé les populations avec des informations tronquées qui ont contribuées à radicaliser la population », a regretté Ladji Sidibé, Conseiller Technique au ministère de la communication dans un message du ministre de la communication, Affoussiata Bamba-Lamine, suggérant que «les médias assurent le rôle de gendarme du processus électoral».
Il a également recommandé aux journalistes de «travailler avec responsabilité et professionnalisme afin de garantir le succès des futurs élections et renforcer la cohésion sociale ».
Le représentant de l'Union européenne en Côte d'Ivoire, Jean-François Valette s'est pour sa part réjoui du nombre de candidats enregistrés à la Commission électorale indépendante (CEI), une trentaine.
« Le nombre de candidature reflète du dynamisme de la société ivoirienne. Nous avons confiance que cette élection sera un succès car elle va contribuer à un retour d'une société plus apaisée, plus cohérente », a espéré le diplomate Jean François Valette.
Le président de l'Union des radios de proximité (URPCI), Karamoko Bamba qui revendique plus de 150 radios de proximité a rappelé à ses mandants qu'ils sont au cœur de la communauté. « Vous pouvez influencer positivement ou négativement le cour des élections », a-t-il lancé.
Cette formation intervient dans le cadre du projet «Femmes et médias, partenaires pour une meilleure gouvernance en Afrique de l'ouest » de l'institut Panos de l'Afrique de l'ouest.
La connaissance de l'institution en charge des élections en Côte d'Ivoire, la liberté d'expression, le cadre juridique des élections sont entre autres les thèmes, au menu de cette formation.
Pour un meilleur traitement de l'information au cours du processus électoral, de nombreuses sessions de formation sont initiées à l'intention des journalistes et animateurs de médias. Les médias ivoiriens ont été pointés du doigt par de nombreux observateurs comme des amplificateurs de la crise née de la dernière élection présidentielle de 2010.
SY/ls/APA