Abidjan – La question des risques hydrométéorologiques en milieu urbain, bien réelle à travers le monde, est au centre d’un atelier régional réunissant de jeudi à vendredi au campus de Bingerville de l’Université Félix Houphouët-Boigny, quelque 70 parlementaires et journalistes du Niger, du Sénégal et de la Côte d’Ivoire.
« La question est de savoir que faire devant ces catastrophes programmées puisque saisonnières ? », s’est interrogé Prof. Assamoi Paul, coordonnateur régional du RHYVA (Gestion des risques hydrométéorologiques dans les villes africaines), à l’ouverture des travaux, lançant ainsi le débat sur ce phénomène inquiétant qui menace la planète en général et les pays en développement en particulier.
Ces sinistres (inondations, éboulements ou glissements de terrain, érosions, etc.) et leurs corollaires de pertes humaines et économiques, ont été débattus à l’envi, au cours de la première journée de cet atelier régional visant à sensibiliser les parlementaires et journalistes sur la question, en vue de susciter un changement de comportement des populations et des décisions idoines au niveau des autorités.
« La réduction des risques hydrométéorologiques et l’atténuation de ses conséquences doivent être proposées par les chercheurs et intégrées dans les villes par les décideurs », a ajouté Prof. Assamoi, justifiant l’association des journalistes et parlementaires autour d’une même plateforme, pour en débattre.
« Nul n’ignore la prééminence et l’impact des risques hydrométéorologiques dans les activités économiques et la vie de tous les jours des populations », a renchéri Pr Aké Sévérin, saluant, au nom de la présidente de l’Université FHB, Bakayoko Ly Ramata, la tenue de cet atelier.
Pr Katy Coulibaly Séraphin, directeur de la Recherche scientifique et de l’Innovation technologique, a attesté de son côté que les risques hydrométéorologiques constituent une grande préoccupation. « L’heure n’est plus à la spéculation », a-t-il fait observer en procédant à l’ouverture officielle de l’atelier, souhaitant une prise de conscience plus accrue et un engagement plus soutenu des décideurs.
Selon Daouda Konaté, directeur de la Météorologie nationale de Côte d’Ivoire, l’hydrométéorologie est la spécialité en météorologie qui étudie les phases atmosphérique et terrestre du cycle hydrologique, en mettant l’accent sur leur interaction. L’hydrométéorologie, poursuit-il, relie ainsi des continents, la météorologie, la climatologie des régions et l’agrométéorologie.
L’atelier régional RHYVA porte sur le thème "Le parlementaire et le journaliste face aux risques hydrométéorologiques".
(AIP)
cmas
« La question est de savoir que faire devant ces catastrophes programmées puisque saisonnières ? », s’est interrogé Prof. Assamoi Paul, coordonnateur régional du RHYVA (Gestion des risques hydrométéorologiques dans les villes africaines), à l’ouverture des travaux, lançant ainsi le débat sur ce phénomène inquiétant qui menace la planète en général et les pays en développement en particulier.
Ces sinistres (inondations, éboulements ou glissements de terrain, érosions, etc.) et leurs corollaires de pertes humaines et économiques, ont été débattus à l’envi, au cours de la première journée de cet atelier régional visant à sensibiliser les parlementaires et journalistes sur la question, en vue de susciter un changement de comportement des populations et des décisions idoines au niveau des autorités.
« La réduction des risques hydrométéorologiques et l’atténuation de ses conséquences doivent être proposées par les chercheurs et intégrées dans les villes par les décideurs », a ajouté Prof. Assamoi, justifiant l’association des journalistes et parlementaires autour d’une même plateforme, pour en débattre.
« Nul n’ignore la prééminence et l’impact des risques hydrométéorologiques dans les activités économiques et la vie de tous les jours des populations », a renchéri Pr Aké Sévérin, saluant, au nom de la présidente de l’Université FHB, Bakayoko Ly Ramata, la tenue de cet atelier.
Pr Katy Coulibaly Séraphin, directeur de la Recherche scientifique et de l’Innovation technologique, a attesté de son côté que les risques hydrométéorologiques constituent une grande préoccupation. « L’heure n’est plus à la spéculation », a-t-il fait observer en procédant à l’ouverture officielle de l’atelier, souhaitant une prise de conscience plus accrue et un engagement plus soutenu des décideurs.
Selon Daouda Konaté, directeur de la Météorologie nationale de Côte d’Ivoire, l’hydrométéorologie est la spécialité en météorologie qui étudie les phases atmosphérique et terrestre du cycle hydrologique, en mettant l’accent sur leur interaction. L’hydrométéorologie, poursuit-il, relie ainsi des continents, la météorologie, la climatologie des régions et l’agrométéorologie.
L’atelier régional RHYVA porte sur le thème "Le parlementaire et le journaliste face aux risques hydrométéorologiques".
(AIP)
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