Au demeurant, le candidat du Fpi pense que ce scrutin se déroulera dans la quiétude et la transparence. Pour Pascal Affi N’Guessan qui a longuement fustigé l’attitude frondeuse des dissidents de son parti, « même si le Fpi boycotte les élections, la Côte d’Ivoire ne s’arrêtera pas...».
En tournée d’informations dans le département d’Abengourou depuis le 24 août dernier, Pascal Affi N’Guessan, le candidat du Front populaire ivoirien (Fpi), a animé son meeting de clôture le 27 août 2015 dans la capitale de l’Indénié.
A « la Place de la solidarité » où il s’est adressé à un public moyen, le président du parti de Laurent Gbagbo a d’entrée donné les raisons de sa candidature à l'élection présidentielle du 25 octobre prochain. « Par principe, le Fpi a été créé pour prendre le pouvoir par les urnes et transformer la Côte d’Ivoire. Le pays, aujourd’hui, a besoin d’une renaissance et les prochaines élections nous en donnent l’occasion. Nous sommes candidat pour que le changement s’opère pour le bien-être de nos concitoyens », a-t-il justifié. Avant d'appeler ses hôtes à sortir massivement le 25 octobre prochain pour ce scrutin qu’il juge crucial.
Au demeurant, le candidat du Fpi pense que ce scrutin se déroulera dans la quiétude et la transparence. Pour Pascal Affi N’Guessan qui a longuement fustigé l’attitude frondeuse des dissidents de son parti, « même si le Fpi boycotte les élections, la Côte d’Ivoire ne s’arrêtera pas. Et ce n’est pas en pleurant continuellement sur le sort de Laurent Gbagbo que nous allons ouvrir les portes des prisons pour le libérer, lui et les autres détenus politiques ».
Dans son intervention, il a estimé que c’est en participant au jeu politique que les partis d’opposition pourront donner une autre orientation à la politique de développement en Côte d’Ivoire. « Ce n’est pas par la calomnie et la convoitise que nous allons diriger ce pays », a-t-il soutenu. Ajoutant qu’on ne fait pas la politique avec un esprit revanchard teinté de colère.
Ouvrant une lucarne sur son programme de société, le candidat du Fpi a affiché son intention d’offrir un mieux-être à ses concitoyens, notamment dans le secteur de la santé, l’éducation, la sécurité, l’emploi, la modernisation de l’économie et la cohésion sociale.
Zéphirin Nango
Correspondant régional
En tournée d’informations dans le département d’Abengourou depuis le 24 août dernier, Pascal Affi N’Guessan, le candidat du Front populaire ivoirien (Fpi), a animé son meeting de clôture le 27 août 2015 dans la capitale de l’Indénié.
A « la Place de la solidarité » où il s’est adressé à un public moyen, le président du parti de Laurent Gbagbo a d’entrée donné les raisons de sa candidature à l'élection présidentielle du 25 octobre prochain. « Par principe, le Fpi a été créé pour prendre le pouvoir par les urnes et transformer la Côte d’Ivoire. Le pays, aujourd’hui, a besoin d’une renaissance et les prochaines élections nous en donnent l’occasion. Nous sommes candidat pour que le changement s’opère pour le bien-être de nos concitoyens », a-t-il justifié. Avant d'appeler ses hôtes à sortir massivement le 25 octobre prochain pour ce scrutin qu’il juge crucial.
Au demeurant, le candidat du Fpi pense que ce scrutin se déroulera dans la quiétude et la transparence. Pour Pascal Affi N’Guessan qui a longuement fustigé l’attitude frondeuse des dissidents de son parti, « même si le Fpi boycotte les élections, la Côte d’Ivoire ne s’arrêtera pas. Et ce n’est pas en pleurant continuellement sur le sort de Laurent Gbagbo que nous allons ouvrir les portes des prisons pour le libérer, lui et les autres détenus politiques ».
Dans son intervention, il a estimé que c’est en participant au jeu politique que les partis d’opposition pourront donner une autre orientation à la politique de développement en Côte d’Ivoire. « Ce n’est pas par la calomnie et la convoitise que nous allons diriger ce pays », a-t-il soutenu. Ajoutant qu’on ne fait pas la politique avec un esprit revanchard teinté de colère.
Ouvrant une lucarne sur son programme de société, le candidat du Fpi a affiché son intention d’offrir un mieux-être à ses concitoyens, notamment dans le secteur de la santé, l’éducation, la sécurité, l’emploi, la modernisation de l’économie et la cohésion sociale.
Zéphirin Nango
Correspondant régional