A deux mois de l’élection présidentielle d’octobre 2015, bon nombre d’ivoiriens se préoccupent de leur sécurité. Ils se posent la question de savoir si les mêmes causes ne produiront-ils pas les mêmes effets. «Est-ce que Ouattara n’utilisera-t-il pas les armes pour vouloir se maintenir au pouvoir, s’il perdait les élections ?», se posent-ils la question. Le président Pascal Affi N’Guessan, candidat du Front populaire ivoirien (Fpi), s’est penché sur la question, lors du meeting de clôture d’Agnibilékro, dans la Région de l’Indénié-Djuablin, à 260 km d’Abidjan, le samedi 29 août dernier.
« Dieu a déblayé la voie. En France, il a éliminé Sarkozy, au Burkina il a écarté Blaise Compaoré. La voie est ouverte pour que nous allions déposer nos bulletins dans l’urne et remettre le Fpi au pouvoir. Dieu a décidé que le Fpi revienne au pouvoir. C’est pour cela qu’il a écarté ceux qui ont été la cause des malheurs du Fpi », a-t-il expliqué. Avant de réitérer son appel de vote à l’endroit des ivoiriens qui sont encore dans l’hésitation. « Il y en a qui hésitent encore. On leur dit d’aller voter, ils hésitent. Ils disent qu’ils ont peur. Allez-y, Dieu a tout fait. Pourquoi avoir peur ? Demain, rassure le président Affi, sachez que l’élection qui arrive se déroulera sans problème. Le 25 Octobre, allez-y voter seulement. Le reste, je m’en occupe ».
Au-delà de la préoccupation évoquée par la plupart des ivoiriens concernant la garantie d’une stabilité politique, au cas ou le chef de l’Etat actuel, Alassane Ouattara, candidat sortant à l’élection d’octobre prochain perdait les élections, le candidat du Fpi a aussi fait savoir que l’acte citoyen, qui est le vote, permettra la libération du président Laurent Gbagbo ainsi que de tous les prisonnier politiques encore incarcérés.
Le secrétaire national Fpi chargé du Djuablin, Ekra Diaponon, a fait savoir qu’avec le président Affi, le changement est maintenant possible. Et qu’avec «le changement, maintenant », slogan de campagne du candidat Affi, c’est l’avenir du peuple ivoirien qui se construira sur des bases solides, c’est la Côte d’Ivoire qui connaitra une réconciliation vraie. Selon lui, les militants du Fpi du Djuablin rassurent le président Affi qu’ils contribueront à le porter au pouvoir, au soir du 25 octobre prochain.
Le candidat du Fpi, Pascal Affi N’Guessan, a fait deux jours dans le Djuablin. Il y était du 28 au 29 août, après avoir échangé avec les populations des villages de Duffrebo, Tanguelan, Damé et Akoboissué. Juste après le meeting de clôture, qui a pris fin dans la soirée, le président Affi à pris le chemin de la Région du Gontougo (Bondoukou, Tanda, Koun-Fao, Sandegué, Transua). Où, lui et sa délégation qui l’accompagne, passerons dix jours.
« Dieu a déblayé la voie. En France, il a éliminé Sarkozy, au Burkina il a écarté Blaise Compaoré. La voie est ouverte pour que nous allions déposer nos bulletins dans l’urne et remettre le Fpi au pouvoir. Dieu a décidé que le Fpi revienne au pouvoir. C’est pour cela qu’il a écarté ceux qui ont été la cause des malheurs du Fpi », a-t-il expliqué. Avant de réitérer son appel de vote à l’endroit des ivoiriens qui sont encore dans l’hésitation. « Il y en a qui hésitent encore. On leur dit d’aller voter, ils hésitent. Ils disent qu’ils ont peur. Allez-y, Dieu a tout fait. Pourquoi avoir peur ? Demain, rassure le président Affi, sachez que l’élection qui arrive se déroulera sans problème. Le 25 Octobre, allez-y voter seulement. Le reste, je m’en occupe ».
Au-delà de la préoccupation évoquée par la plupart des ivoiriens concernant la garantie d’une stabilité politique, au cas ou le chef de l’Etat actuel, Alassane Ouattara, candidat sortant à l’élection d’octobre prochain perdait les élections, le candidat du Fpi a aussi fait savoir que l’acte citoyen, qui est le vote, permettra la libération du président Laurent Gbagbo ainsi que de tous les prisonnier politiques encore incarcérés.
Le secrétaire national Fpi chargé du Djuablin, Ekra Diaponon, a fait savoir qu’avec le président Affi, le changement est maintenant possible. Et qu’avec «le changement, maintenant », slogan de campagne du candidat Affi, c’est l’avenir du peuple ivoirien qui se construira sur des bases solides, c’est la Côte d’Ivoire qui connaitra une réconciliation vraie. Selon lui, les militants du Fpi du Djuablin rassurent le président Affi qu’ils contribueront à le porter au pouvoir, au soir du 25 octobre prochain.
Le candidat du Fpi, Pascal Affi N’Guessan, a fait deux jours dans le Djuablin. Il y était du 28 au 29 août, après avoir échangé avec les populations des villages de Duffrebo, Tanguelan, Damé et Akoboissué. Juste après le meeting de clôture, qui a pris fin dans la soirée, le président Affi à pris le chemin de la Région du Gontougo (Bondoukou, Tanda, Koun-Fao, Sandegué, Transua). Où, lui et sa délégation qui l’accompagne, passerons dix jours.