Abidjan - "Tribune ivoirienne", un nouveau quotidien ivoirien a paru lundi dans les kiosques pour occuper une place jusque-là mal exploitée par "un quotidien indépendant et d’investigation" en Côte d’Ivoire.
"Sous nos yeux se produit, en effet l’une des grandes révolutions de notre époque (...) une opinion ivoirienne est en train de naître avec un esprit d’indépendance de pensée", a affirmé Amos Beonaho, le directeur général du nouveau journal.
Tiré à 10.000 exemplaires, "Tribune ivoirienne" entend explorer un "créneau où il y a peu de concurrence: les enquêtes, les investigations et les analyses de fonds", écrit son éditorialiste et directeur de publication, Ferro Bally, un ancien journaliste du quotidien public ivoirien Fraternité-matin.
Sous le slogan "l’information n’a pas de couleur", le dernier-né de la presse ivoirienne veut être "cette tribune où tous les lecteurs ont leur place et ont droit à la parole".
Une vingtaine de quotidiens composent la presse écrite qui évolue dans un environnement concurrentiel. Économiquement très fragile, cette floraison de titres est confrontée à la baisse drastique du pouvoir d’achat des Ivoiriens et à une crise de confiance dans la presse en général.
La presse ivoirienne est connue pour ses partis pris très marqués et son ton souvent virulent, qui en ont fait une caisse de résonance essentielle pendant la longue décennie de crise politico-militaire qu’a traversée la Côte d’Ivoire depuis la fin des années 1990.
ck/eak/jhd
"Sous nos yeux se produit, en effet l’une des grandes révolutions de notre époque (...) une opinion ivoirienne est en train de naître avec un esprit d’indépendance de pensée", a affirmé Amos Beonaho, le directeur général du nouveau journal.
Tiré à 10.000 exemplaires, "Tribune ivoirienne" entend explorer un "créneau où il y a peu de concurrence: les enquêtes, les investigations et les analyses de fonds", écrit son éditorialiste et directeur de publication, Ferro Bally, un ancien journaliste du quotidien public ivoirien Fraternité-matin.
Sous le slogan "l’information n’a pas de couleur", le dernier-né de la presse ivoirienne veut être "cette tribune où tous les lecteurs ont leur place et ont droit à la parole".
Une vingtaine de quotidiens composent la presse écrite qui évolue dans un environnement concurrentiel. Économiquement très fragile, cette floraison de titres est confrontée à la baisse drastique du pouvoir d’achat des Ivoiriens et à une crise de confiance dans la presse en général.
La presse ivoirienne est connue pour ses partis pris très marqués et son ton souvent virulent, qui en ont fait une caisse de résonance essentielle pendant la longue décennie de crise politico-militaire qu’a traversée la Côte d’Ivoire depuis la fin des années 1990.
ck/eak/jhd