La Banque africaine de développement (BAD) a annoncé, mercredi, l’intégration du Botswana et de la Namibie dans son indice obligatoire africain.
« En février 2015, la Banque africaine de développement (BAD) a lancé +African Bond Index (ABABI)+, à travers l’Initiative des marchés financiers africains (IMFA) », rappelle dans un communiqué transmis à APA, Stefan Nalletamby, Directeur du Département du développement du secteur financier de la BAD.
ABABI qui comprend les indices souverains de l’Afrique du Sud, de l’Egypte, du Nigeria et du Kenya, ajoute-t-il, « sera élargi dès octobre 2015 au Botswana et à la Namibie », précise le communiqué de l’institution ».
«De plus en plus de pays africains se tournent vers les marchés de capitaux domestiques pour mobiliser les ressources financières nécessaires au développement économique », a poursuivi Nalletamby, se réjouissant de l’entrée de ces deux pays de l’Afrique centrale.
« Nous sommes ravis d’accueillir le Botswana et la Namibie dans l’indice et espérons y inclure d’autres pays dès que des données fiables sur les leurs marchés secondaires seront disponibles », conclut-il.
Ainsi élargi, l’indice ABABI comptera désormais les six marchés obligataires souverains les plus liquides en Afrique et trois sous-indices relatifs à différentes gammes de maturité.
Le travail de l’IMFA consiste à approfondir les marchés obligataires en monnaie locale du continent et aussi à créer un environnement où les pays africains peuvent avoir accès à différents modes de financement.
Il fournit par ailleurs aux investisseurs un outil qui permet de mesurer et de suivre la performance des marchés obligataires africains.
SY/ls/APA
« En février 2015, la Banque africaine de développement (BAD) a lancé +African Bond Index (ABABI)+, à travers l’Initiative des marchés financiers africains (IMFA) », rappelle dans un communiqué transmis à APA, Stefan Nalletamby, Directeur du Département du développement du secteur financier de la BAD.
ABABI qui comprend les indices souverains de l’Afrique du Sud, de l’Egypte, du Nigeria et du Kenya, ajoute-t-il, « sera élargi dès octobre 2015 au Botswana et à la Namibie », précise le communiqué de l’institution ».
«De plus en plus de pays africains se tournent vers les marchés de capitaux domestiques pour mobiliser les ressources financières nécessaires au développement économique », a poursuivi Nalletamby, se réjouissant de l’entrée de ces deux pays de l’Afrique centrale.
« Nous sommes ravis d’accueillir le Botswana et la Namibie dans l’indice et espérons y inclure d’autres pays dès que des données fiables sur les leurs marchés secondaires seront disponibles », conclut-il.
Ainsi élargi, l’indice ABABI comptera désormais les six marchés obligataires souverains les plus liquides en Afrique et trois sous-indices relatifs à différentes gammes de maturité.
Le travail de l’IMFA consiste à approfondir les marchés obligataires en monnaie locale du continent et aussi à créer un environnement où les pays africains peuvent avoir accès à différents modes de financement.
Il fournit par ailleurs aux investisseurs un outil qui permet de mesurer et de suivre la performance des marchés obligataires africains.
SY/ls/APA