L’Association des musulmans sunnites en Côte d'Ivoire (AMSCI) a condamné dimanche, "toute forme de violence, de terrorisme et d’intolérance religieuse" car, explique-t-elle, "l’Islam consacre la préservation de la vie".
Cette condamnation est intervenue à l’issue d’une Assemblée consultative qui a réuni des imams et des leaders religieux de différentes villes de la Côte d’Ivoire autour du thème, "Islam religion de paix et de cohésion ".
"L’Assemblée consultative réaffirme une nette ligne de démarcation entre l’islam et le terrorisme. Elle condamne énergiquement toute forme de violence, de terrorisme et d’intolérance religieuse car l’Islam consacre la préservation de la vie", stipule la déclaration finale transmise à APA.
Le conseil consultatif des sunnites en Côte d’Ivoire encourage "le gouvernement à poursuivre et à renforcer sa politique d’emplois jeunes, afin d’éviter à ceux-ci de tomber dans les travers du banditisme et du terrorisme".
L’Assemblée exprime par ailleurs, "toute sa disponibilité pour la promotion de la paix et du renforcement de la cohésion sociale tout en mettant en mission l’ensemble des imams et des leaders religieux pour user de leur influence dans l’endiguement du terrorisme et de l’extrémisme, contraires aux valeurs de l’Islam".
L'élection présidentielle du 25 octobre prochain a été également au menu de ces assises. A ce propos, l'Assemblée a rappelé que la crise postélectorale de 2010 a entraîné de nombreux dégâts.
C’est pourquoi, les participants "invitent tous les acteurs politiques à plus de responsabilité, à faire preuve de mesure et à s’assurer que leurs actes privilégient l’intérêt supérieur de la nation".
Dans la foulée, les musulmans sunnites exhorte « toute la classe politique à s’inscrire résolument dans une dynamique favorisant un contexte électoral paisible en 2015 et à mener une campagne électorale apaisée et civilisée, qui exclut toute forme de violence".
Pour Dr Farouck Fadiga , Président de cette Association créée en 1976, les leaders religieux ont un rôle important à jouer dans la bonne marche du pays.
"Nous avons le devoir de jouer notre rôle dans la conquête de la fraternité, de la tolérance et de la paix partout où cela est nécessaire", soutient-il, exhortant les participants "à restituer dans leurs mosquées et communautés respectives, sur toute l’étendue du territoire national les recommandations de cette réunion".
SY/ls/APA
Cette condamnation est intervenue à l’issue d’une Assemblée consultative qui a réuni des imams et des leaders religieux de différentes villes de la Côte d’Ivoire autour du thème, "Islam religion de paix et de cohésion ".
"L’Assemblée consultative réaffirme une nette ligne de démarcation entre l’islam et le terrorisme. Elle condamne énergiquement toute forme de violence, de terrorisme et d’intolérance religieuse car l’Islam consacre la préservation de la vie", stipule la déclaration finale transmise à APA.
Le conseil consultatif des sunnites en Côte d’Ivoire encourage "le gouvernement à poursuivre et à renforcer sa politique d’emplois jeunes, afin d’éviter à ceux-ci de tomber dans les travers du banditisme et du terrorisme".
L’Assemblée exprime par ailleurs, "toute sa disponibilité pour la promotion de la paix et du renforcement de la cohésion sociale tout en mettant en mission l’ensemble des imams et des leaders religieux pour user de leur influence dans l’endiguement du terrorisme et de l’extrémisme, contraires aux valeurs de l’Islam".
L'élection présidentielle du 25 octobre prochain a été également au menu de ces assises. A ce propos, l'Assemblée a rappelé que la crise postélectorale de 2010 a entraîné de nombreux dégâts.
C’est pourquoi, les participants "invitent tous les acteurs politiques à plus de responsabilité, à faire preuve de mesure et à s’assurer que leurs actes privilégient l’intérêt supérieur de la nation".
Dans la foulée, les musulmans sunnites exhorte « toute la classe politique à s’inscrire résolument dans une dynamique favorisant un contexte électoral paisible en 2015 et à mener une campagne électorale apaisée et civilisée, qui exclut toute forme de violence".
Pour Dr Farouck Fadiga , Président de cette Association créée en 1976, les leaders religieux ont un rôle important à jouer dans la bonne marche du pays.
"Nous avons le devoir de jouer notre rôle dans la conquête de la fraternité, de la tolérance et de la paix partout où cela est nécessaire", soutient-il, exhortant les participants "à restituer dans leurs mosquées et communautés respectives, sur toute l’étendue du territoire national les recommandations de cette réunion".
SY/ls/APA
