L'ancien Premier ministre ivoirien Charles Konan Banny, candidat indépendant à l'élection présidentielle du 25 octobre prochain a sollicité, samedi, le soutien du peuple Attié afin d'obtenir le changement en Côte d'Ivoire.
Membre de la Coalition nationale pour le changement (CNC, opposition) dont il est le Président, M. Banny a partagé sa vision politique avec le peuple Attié au cours d'un meeting. "La CNC veut le changement par la démocratie pacifique", a-t-il déclaré, relevant que "ce pays a connu la guerre, a perdu de vaillants fils (...)".
"Nous ne voulons plus de guerre, nous voulons la consultation du peuple et la CNC veut le changement par la démocratie, la paix et des élections", a ajouté l'ancien premier ministre qui demande au peuple Attié de l'accompagner "pour ce changement".
Le score du Président Alassane Ouattara dans cette région de la Mé (Adzopé) à l'occasion de l'élection présidentielle de 2010 n'a pas été "fameux", rappelle un cadre de cette localité de l'Est de la Côte d'Ivoire, sous le couvert de l'anonymat.
M. Banny a encore réitéré la volonté de sa coalition de discuter avec le Président Alassane Ouattara sur les conditions d'une bonne organisation de l'élection présidentielle ivoirienne dont la date du premier tour est fixé au 25 octobre prochain.
"Asseyons-nous et discutons, appliquons nos textes et lois que nous sommes donnés", a-t-il lancé, alors que le gouvernement a annoncé que le dialogue politique reprendra le mercredi prochain avec l'opposition, sous la houlette du ministre d'Etat auprès du Président de la République chargé du dialogue politique, Jeannot Ahoussou Kouadio.
En plus d'Alassane Ouattara, candidat à sa propre succession, le Président du Front populaire ivoirien (FPI) Pascal Affi N'guessan, l'ancien Premier ministre Charles Konan Banny ainsi que l'ex-ministres des affaires étrangères Amara Essy ainsi que le Député Bertin Konan Kouadio dit KKB ont également exprimé leur intention de briguer la magistrature suprême du pays.
Le Conseil constitutionnel ivoirien va rendre public la liste définitive pour cette élection au plus tard le 10 septembre prochain sur la base des 33 dossiers reçus de la Commission électorale indépendante (CEI).
LS/APA
Membre de la Coalition nationale pour le changement (CNC, opposition) dont il est le Président, M. Banny a partagé sa vision politique avec le peuple Attié au cours d'un meeting. "La CNC veut le changement par la démocratie pacifique", a-t-il déclaré, relevant que "ce pays a connu la guerre, a perdu de vaillants fils (...)".
"Nous ne voulons plus de guerre, nous voulons la consultation du peuple et la CNC veut le changement par la démocratie, la paix et des élections", a ajouté l'ancien premier ministre qui demande au peuple Attié de l'accompagner "pour ce changement".
Le score du Président Alassane Ouattara dans cette région de la Mé (Adzopé) à l'occasion de l'élection présidentielle de 2010 n'a pas été "fameux", rappelle un cadre de cette localité de l'Est de la Côte d'Ivoire, sous le couvert de l'anonymat.
M. Banny a encore réitéré la volonté de sa coalition de discuter avec le Président Alassane Ouattara sur les conditions d'une bonne organisation de l'élection présidentielle ivoirienne dont la date du premier tour est fixé au 25 octobre prochain.
"Asseyons-nous et discutons, appliquons nos textes et lois que nous sommes donnés", a-t-il lancé, alors que le gouvernement a annoncé que le dialogue politique reprendra le mercredi prochain avec l'opposition, sous la houlette du ministre d'Etat auprès du Président de la République chargé du dialogue politique, Jeannot Ahoussou Kouadio.
En plus d'Alassane Ouattara, candidat à sa propre succession, le Président du Front populaire ivoirien (FPI) Pascal Affi N'guessan, l'ancien Premier ministre Charles Konan Banny ainsi que l'ex-ministres des affaires étrangères Amara Essy ainsi que le Député Bertin Konan Kouadio dit KKB ont également exprimé leur intention de briguer la magistrature suprême du pays.
Le Conseil constitutionnel ivoirien va rendre public la liste définitive pour cette élection au plus tard le 10 septembre prochain sur la base des 33 dossiers reçus de la Commission électorale indépendante (CEI).
LS/APA