La sécurisation de l’élection présidentielle du 25 octobre prochain et la grève des transporteurs dans la commune d’Abobo (Nord d’Abidjan) ainsi que la liberté provisoire refusée à Laurent Gbagbo sont des sujets largement commentés dans les colonnes de la presse ivoirienne parue, mercredi, sur l’ensemble du territoire national.
« A un mois de l’élection présidentielle en Côte d’Ivoire, des forces spéciales françaises à Abidjan », titre en Une, le quotidien Le Temps qui dit connaître la mission des 250 éléments concernés. Situation sécuritaire, révèle L’Inter, « 643 faux militaires mis aux arrêts ». Ce journal croit savoir comment ils ont été «démasqués».
Le journal Soir info, consacre sa Une à la menace djihadiste et annonce l’arrestation d’un chef terroriste ivoirien. « Des armes de guerre saisies à son domicile », renseigne le confrère qui révèle par ailleurs, « tout sur ses activités ».
L’opposition continue à se faire peur, écrit le quotidien Le Patriote qui explique « pourquoi le désordre ne passera pas ». Pour Le Nouveau Réveil, le « gouvernement se prépare à toutes éventualités ».
La grève des chauffeurs de minicars communément appelés « gbakas » qui a perturbé la circulation dans la commune d’Abobo, au Nord d’Abidjan, occupe également une place de choix dans les colonnes des journaux parus ce jour.
« Hier à Abidjan, un mort : les transporteurs se soulèvent », rapporte Soir info, quand Nord Sud Quotidien constate que les « chauffeurs de gbakas mélangent tout » après la mort d’un des leurs.
Ce qui fait dire au Quotidien d’Abidjan que la commune d’Abobo a été « paralysée », hier. L’Intelligent d’Abidjan annonce la reprise des activités grâce à l’intervention du ministre des transports Gaoussou Touré.
Au plan judiciaire, la liberté provisoire refusée à l’ancien chef de l’Etat Laurent Gbagbo alimente les colonnes de la presse ivoirienne. « La CPI (Cour pénale internationale) dit 9 fois non à Gbagbo », écrit L’Expression, là où, Le Nouveau Réveil pense que « Laurent Gbagbo a encore mordu à la poussière ».
LS/APA
« A un mois de l’élection présidentielle en Côte d’Ivoire, des forces spéciales françaises à Abidjan », titre en Une, le quotidien Le Temps qui dit connaître la mission des 250 éléments concernés. Situation sécuritaire, révèle L’Inter, « 643 faux militaires mis aux arrêts ». Ce journal croit savoir comment ils ont été «démasqués».
Le journal Soir info, consacre sa Une à la menace djihadiste et annonce l’arrestation d’un chef terroriste ivoirien. « Des armes de guerre saisies à son domicile », renseigne le confrère qui révèle par ailleurs, « tout sur ses activités ».
L’opposition continue à se faire peur, écrit le quotidien Le Patriote qui explique « pourquoi le désordre ne passera pas ». Pour Le Nouveau Réveil, le « gouvernement se prépare à toutes éventualités ».
La grève des chauffeurs de minicars communément appelés « gbakas » qui a perturbé la circulation dans la commune d’Abobo, au Nord d’Abidjan, occupe également une place de choix dans les colonnes des journaux parus ce jour.
« Hier à Abidjan, un mort : les transporteurs se soulèvent », rapporte Soir info, quand Nord Sud Quotidien constate que les « chauffeurs de gbakas mélangent tout » après la mort d’un des leurs.
Ce qui fait dire au Quotidien d’Abidjan que la commune d’Abobo a été « paralysée », hier. L’Intelligent d’Abidjan annonce la reprise des activités grâce à l’intervention du ministre des transports Gaoussou Touré.
Au plan judiciaire, la liberté provisoire refusée à l’ancien chef de l’Etat Laurent Gbagbo alimente les colonnes de la presse ivoirienne. « La CPI (Cour pénale internationale) dit 9 fois non à Gbagbo », écrit L’Expression, là où, Le Nouveau Réveil pense que « Laurent Gbagbo a encore mordu à la poussière ».
LS/APA