Abidjan – Un accord sur la création d’une alliance franco-ivoirienne du numérique a été signé vendredi à Abidjan entre le Groupement des opérateurs du secteur des technologies de l’information et de la communication de Côte d’Ivoire (GOTIC) et son homologue français, Syntec Numérique.
L’accord a été signé d’une part par Patrick M’Bengue, président du GOTIC et par Alexandre Zapolsky, d’autre part, pour le compte de Syntec Numérique. Et ce, sous le regard du ministre ivoirien de la Poste et des TIC, Bruno Nabagné Koné, et Mme Axelle Lemaire, secrétaire d’Etat française au numérique, en présence de l’ambassadeur, Georges Serre.
A l’issue de la signature de l’accord, M. Zapolsky a souligné que celui-ci va reposer sur des événements pour lesquels une délégation de la France sera présente en Côte d’Ivoire et vice-versa. Exprimant la nécessité d’une alliance forte entre les acteurs du numérique dans les deux pays, il a estimé qu’il y a beaucoup de travail à faire pour un maillage du territoire ivoirien en la matière.
De son côté, le président DU GOTIC a dit voir, à travers cet accord, une occasion pour mettre en place des opportunités technologiques à la fois sur le marché local et international.
Au nom du gouvernement français, Mme Axelle Lemaire a salué la création de l’alliance franco-ivoirienne du numérique, un vecteur très important de la croissance économique.
« Il s’agit de faire des partenariats technologiques et commerciaux, répondre à des appels à projets dans la sous-région », a-t-elle précisé, estimant que c’est la première pierre posée dans la coopération numérique entre les deux pays.
Pour sa part, le ministre ivoirien de la Poste et des TIC, Bruno Nabagné Koné, également porte-parole du Gouvernement, a rappelé les ambitions très fortes en matière de TIC portées par le Président Alassane Ouattara.
Il a fait observer que la vision du N°1 ivoirien de faire de la Côte d’Ivoire un pays émergent à l’horizon 2020 impose un grand nombre de choses. « Le numérique peut être un catalyseur pour accélérer la marche vers l’émergence », a-t-il déclaré, insistant sur les retombées de cet accord pour les deux parties et notamment pour la Côte d’Ivoire qui a beaucoup à apprendre de l’hexagone.
cmas
L’accord a été signé d’une part par Patrick M’Bengue, président du GOTIC et par Alexandre Zapolsky, d’autre part, pour le compte de Syntec Numérique. Et ce, sous le regard du ministre ivoirien de la Poste et des TIC, Bruno Nabagné Koné, et Mme Axelle Lemaire, secrétaire d’Etat française au numérique, en présence de l’ambassadeur, Georges Serre.
A l’issue de la signature de l’accord, M. Zapolsky a souligné que celui-ci va reposer sur des événements pour lesquels une délégation de la France sera présente en Côte d’Ivoire et vice-versa. Exprimant la nécessité d’une alliance forte entre les acteurs du numérique dans les deux pays, il a estimé qu’il y a beaucoup de travail à faire pour un maillage du territoire ivoirien en la matière.
De son côté, le président DU GOTIC a dit voir, à travers cet accord, une occasion pour mettre en place des opportunités technologiques à la fois sur le marché local et international.
Au nom du gouvernement français, Mme Axelle Lemaire a salué la création de l’alliance franco-ivoirienne du numérique, un vecteur très important de la croissance économique.
« Il s’agit de faire des partenariats technologiques et commerciaux, répondre à des appels à projets dans la sous-région », a-t-elle précisé, estimant que c’est la première pierre posée dans la coopération numérique entre les deux pays.
Pour sa part, le ministre ivoirien de la Poste et des TIC, Bruno Nabagné Koné, également porte-parole du Gouvernement, a rappelé les ambitions très fortes en matière de TIC portées par le Président Alassane Ouattara.
Il a fait observer que la vision du N°1 ivoirien de faire de la Côte d’Ivoire un pays émergent à l’horizon 2020 impose un grand nombre de choses. « Le numérique peut être un catalyseur pour accélérer la marche vers l’émergence », a-t-il déclaré, insistant sur les retombées de cet accord pour les deux parties et notamment pour la Côte d’Ivoire qui a beaucoup à apprendre de l’hexagone.
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