J’ai lu et relu la décision du Conseil Constitutionnel rendant éligible le Candidat Ouattara Alassane dit ADO. Cette décision mérite au moins un prix Nobel, une communication à l’académie des sciences et un Brevet d’Invention pour les honorables membres du Conseil Constitutionnel pour une contribution majeure à l’avancement de la science en inventant une nouvelle branche : la science juridico-mathématique.
Selon le Conseil Constitutionnel, l’éligibilité de M. Ouattara repose sur une théorie formulée par le Conseil Constitutionnel: Rééligibilité par dérivation de son éligibilité de 2010. Cette théorie exempte M. Ouattara du respect des conditions d’éligibilité prescrites par l’article 35 de la Constitution
Pour notre noble institution, il ne s’agit pas en 2015 d’une élection mais d’une réélection par conséquent les conditions d’élection diffèrent des conditions de réélection et cette dernière est la dérivée de la première. En sciences Mathématiques, une fonction n’est dérivable en un point que si sa variable est définie et continue en ce point. Or la variable essentielle de l’éligibilité de M. Ouattara en 2010 est l’accord de Pretoria qui, selon les termes de cet accord validé par l’UA et l’ONU, est défini et continu sur l’intervalle fermé et borné 2005-2010 donc dérivable sur ce domaine de définition. En dehors de cet intervalle l’accord de Pretoria n’est pas défini donc non dérivable, par conséquent l’éligibilité de M. Ouattara est non dérivable au point 2015. Il est donc non rééligible en 2015. Pour rendre M. Ouattara rééligible il faut donc une nouvelle science sortie du génie inventif des membres du Conseil Constitutionnel : la science juridico-mathématique dont le principe fondamental est le suivant: Une fonction non définie en un point est dérivable en ce point si et seulement si M. Ouattara le veut; M. Ouattara étant un paramètre exceptionnel. Génial Conseil Constitutionnel de Côte d’Ivoire ! Il mérite bien un prix Nobel exceptionnel, un brevet d’invention exceptionnel et une communication à l’académie des sciences qui dérive de la nouvelle science.
Ahoua Don Mello
Selon le Conseil Constitutionnel, l’éligibilité de M. Ouattara repose sur une théorie formulée par le Conseil Constitutionnel: Rééligibilité par dérivation de son éligibilité de 2010. Cette théorie exempte M. Ouattara du respect des conditions d’éligibilité prescrites par l’article 35 de la Constitution
Pour notre noble institution, il ne s’agit pas en 2015 d’une élection mais d’une réélection par conséquent les conditions d’élection diffèrent des conditions de réélection et cette dernière est la dérivée de la première. En sciences Mathématiques, une fonction n’est dérivable en un point que si sa variable est définie et continue en ce point. Or la variable essentielle de l’éligibilité de M. Ouattara en 2010 est l’accord de Pretoria qui, selon les termes de cet accord validé par l’UA et l’ONU, est défini et continu sur l’intervalle fermé et borné 2005-2010 donc dérivable sur ce domaine de définition. En dehors de cet intervalle l’accord de Pretoria n’est pas défini donc non dérivable, par conséquent l’éligibilité de M. Ouattara est non dérivable au point 2015. Il est donc non rééligible en 2015. Pour rendre M. Ouattara rééligible il faut donc une nouvelle science sortie du génie inventif des membres du Conseil Constitutionnel : la science juridico-mathématique dont le principe fondamental est le suivant: Une fonction non définie en un point est dérivable en ce point si et seulement si M. Ouattara le veut; M. Ouattara étant un paramètre exceptionnel. Génial Conseil Constitutionnel de Côte d’Ivoire ! Il mérite bien un prix Nobel exceptionnel, un brevet d’invention exceptionnel et une communication à l’académie des sciences qui dérive de la nouvelle science.
Ahoua Don Mello