Bouaké (Côte d’Ivoire) Le Président statutaire du Front populaire ivoirien (FPI, opposition), Pascal Affi N'Guessan a regretté, samedi, à Bouaké (379 Km au Nord d'Abidjan), les violences constatées ces derniers jours dans le pays, estimant qu'il ''faut y mettre fin''.
M. Affi N'Guessan s'exprimait à la fin d'une rencontre d'information avec les chefs traditionnels du Centre ivoirien. ''Ces violences sont regrettables, elles n'ont pas besoin d'être, elles ne participent pas à la construction du pays'' a estimé le président du FPI, ajoutant qu' ''il faut les bannir, il faut y mettre fin''.
Pour Pascal Affi N'guessan ''pour que les élections à venir permettent au pays de tourner la page de toutes les violences'' que le pays a connu dans le passé, ''nous devons faire l'effort de privilégier tout ce qui contribue à la paix, à la stabilité et à la sérénité''.
''Nous avons envoyé une délégation à Gagnoa au moment où je vous parle pour rencontrer les autorités administratives et les populations (...) pour contribuer à l'apaisement'' a-t-il conclu.
La violence s'est emparée de certaines localités de la Côte d'Ivoire jeudi et vendredi à l'appel des jeunes réunis au sein de la Coalition nationale des jeunes pour le changement (CNJC) qui dénoncent la validation par le Conseil constitutionnel de la candidature du Président sortant Alassane Ouattara à l'élection présidentielle du 25 octobre prochain. Des dégâts humains et matériels ont été déplorés.
CK/ls/APA
M. Affi N'Guessan s'exprimait à la fin d'une rencontre d'information avec les chefs traditionnels du Centre ivoirien. ''Ces violences sont regrettables, elles n'ont pas besoin d'être, elles ne participent pas à la construction du pays'' a estimé le président du FPI, ajoutant qu' ''il faut les bannir, il faut y mettre fin''.
Pour Pascal Affi N'guessan ''pour que les élections à venir permettent au pays de tourner la page de toutes les violences'' que le pays a connu dans le passé, ''nous devons faire l'effort de privilégier tout ce qui contribue à la paix, à la stabilité et à la sérénité''.
''Nous avons envoyé une délégation à Gagnoa au moment où je vous parle pour rencontrer les autorités administratives et les populations (...) pour contribuer à l'apaisement'' a-t-il conclu.
La violence s'est emparée de certaines localités de la Côte d'Ivoire jeudi et vendredi à l'appel des jeunes réunis au sein de la Coalition nationale des jeunes pour le changement (CNJC) qui dénoncent la validation par le Conseil constitutionnel de la candidature du Président sortant Alassane Ouattara à l'élection présidentielle du 25 octobre prochain. Des dégâts humains et matériels ont été déplorés.
CK/ls/APA