Les finales d’athlétisme ont débuté hier soir dans le beau complexe de Kintele, au Congo. Au 100 m dames et hommes, la Côte d’Ivoire, sans surprise, a tout raflé. Marie
Josée Ta Lou et Adémine Gouénon ont d’abord ouvert la voie du succès aux Ivoiriens.
Alignées sur 100 m en finale contre Eunice Kadogo, la Kenyanne qui avait remporté la
série des demi-finales où se trouvaient Adéline Gouénon, la Nigériane, Cecilia Francis, Agyampong Owusu (Ghana), Tsanonne Sebele (Bostwana) et la Burkinabè Karidjatou Traoré, les gazelles ivoiriennes n’ont pas boudé leur plaisir. Ta
Lou, la mondialiste, a honoré son statut en pulvérisant ses concurrentes; en 11 secondes 3, et offert la première médaille
d’or à la Côte d’Ivoire. Au même moment, sur la même distance, sa compatriote, Adéline Gouénon, terminait troisième (10’23) avec une médaille de bronze. «Il y a quelque chose qui n’a pas marché, je ne sais pas trop quoi. Mais l’essentiel est fait, la Côte d’Ivoire a gagné», s’est félicitée Adéline qui a pris un mauvais départ. Pour Ta Lou, «C’est une joie immense de faire honneur aux couleurs de son pays; nous allons essayer de rester concentrés pour la suite de la compétition. Ce n’est pas fini», prévient-elle.
Dans la foulée, la finale masculine a été disputée avec encore deux Ivoiriens sur la ligne de départ: Ben Youssef Méité et
Wilfried Koffi Hua. Ils étaient dans des couloirs très proches. Autour d’eux, il y avait deux Nigerians, un Sud Africain, un
Zambien et un sprinter venu du Lesotho. A l’arrivée, c’était encore la Côte d’Ivoire, avec un Ben Youssef Méité étonnant de
santé qui n’a laissé aucune chance aux autres. Dans ce concours du garçon le plus rapide d’Afrique, Ben Youssef a mis 10 secondes 4 pour parcourir le 100 m hommes. En remportant la médaille d’or, la flèche ivoirienne qui revient de blessure a battu le record de Côte d’Ivoire sur la distance
(10’06). Il était détenu par son ami, Wilfried Koffi, qui a terminé à la troisième place de la course.
En 30 minutes, la Côte d’Ivoire a glané 4 médailles, deux or et autant de bronze.
Mais le compte est loin d’être soldé. Ces quatre mousquetaires sont toujours en lice sur le 200 m dans leurs catégories respectives et même le relais 4x 100 m. Sans compter la présence remarquable de Rosvita Okou. L’athlète ivoirienne qui
évolue en France a arraché sa
qualification (13’35) 1ère ex æquo avec la Sénégalaise Gnima Fall, hier, pour la finale
du 100 m haie dames. «Ce n’est déjà pas mal. C’est le temps que je visais, étant
donné que je n’ai eu qu’une semaine de séances d’entraînement. J’ai été blessée pendant 30 jours. Mais, tout cela n’est
rien. Demain, je vais casser la baraque», a-t-elle promis.
Josée Ta Lou et Adémine Gouénon ont d’abord ouvert la voie du succès aux Ivoiriens.
Alignées sur 100 m en finale contre Eunice Kadogo, la Kenyanne qui avait remporté la
série des demi-finales où se trouvaient Adéline Gouénon, la Nigériane, Cecilia Francis, Agyampong Owusu (Ghana), Tsanonne Sebele (Bostwana) et la Burkinabè Karidjatou Traoré, les gazelles ivoiriennes n’ont pas boudé leur plaisir. Ta
Lou, la mondialiste, a honoré son statut en pulvérisant ses concurrentes; en 11 secondes 3, et offert la première médaille
d’or à la Côte d’Ivoire. Au même moment, sur la même distance, sa compatriote, Adéline Gouénon, terminait troisième (10’23) avec une médaille de bronze. «Il y a quelque chose qui n’a pas marché, je ne sais pas trop quoi. Mais l’essentiel est fait, la Côte d’Ivoire a gagné», s’est félicitée Adéline qui a pris un mauvais départ. Pour Ta Lou, «C’est une joie immense de faire honneur aux couleurs de son pays; nous allons essayer de rester concentrés pour la suite de la compétition. Ce n’est pas fini», prévient-elle.
Dans la foulée, la finale masculine a été disputée avec encore deux Ivoiriens sur la ligne de départ: Ben Youssef Méité et
Wilfried Koffi Hua. Ils étaient dans des couloirs très proches. Autour d’eux, il y avait deux Nigerians, un Sud Africain, un
Zambien et un sprinter venu du Lesotho. A l’arrivée, c’était encore la Côte d’Ivoire, avec un Ben Youssef Méité étonnant de
santé qui n’a laissé aucune chance aux autres. Dans ce concours du garçon le plus rapide d’Afrique, Ben Youssef a mis 10 secondes 4 pour parcourir le 100 m hommes. En remportant la médaille d’or, la flèche ivoirienne qui revient de blessure a battu le record de Côte d’Ivoire sur la distance
(10’06). Il était détenu par son ami, Wilfried Koffi, qui a terminé à la troisième place de la course.
En 30 minutes, la Côte d’Ivoire a glané 4 médailles, deux or et autant de bronze.
Mais le compte est loin d’être soldé. Ces quatre mousquetaires sont toujours en lice sur le 200 m dans leurs catégories respectives et même le relais 4x 100 m. Sans compter la présence remarquable de Rosvita Okou. L’athlète ivoirienne qui
évolue en France a arraché sa
qualification (13’35) 1ère ex æquo avec la Sénégalaise Gnima Fall, hier, pour la finale
du 100 m haie dames. «Ce n’est déjà pas mal. C’est le temps que je visais, étant
donné que je n’ai eu qu’une semaine de séances d’entraînement. J’ai été blessée pendant 30 jours. Mais, tout cela n’est
rien. Demain, je vais casser la baraque», a-t-elle promis.