Le relais 4 X 100 mètres, couru, hier, a souri aux Éléphants conduits par un Méité Ben Youssef étonnant.
L’Abidjanaise, l’hymne national ivoirien, a encore tonné dans le ciel de Brazzaville. La troisième journée des épreuves d’athlétisme a été fructueuse pour les coureurs ivoiriens. Après avoir décroché six médailles, lundi soir, les sprinters ivoiriens ont ajouté deux autres à leur palmarès, hier, en fin de soirée, sur le tartan du stade olympique de Kintélé. C’était au 4x100 m relais hommes. Ben Youssef Méité au bout d’une chaîne bien ficelée par leurs entraîneurs avec au début, le jeune Christopher Naliali, ensuite, Cissé Gué, a transmis le relais à Wilfried Koffi Hua qui s’est faufilé comme une aiguille dans la meute de sprinters pour trouver la main de Ben Youssef Méité, le patron actuel du 100 m hommes qui a achevé le boulot (38’95) pour accrocher à son cou, le graal. Devant le Nigeria (38’97). Au grand bonheur de la petite communauté ivoirienne qui est passée par tous les sentiments en quelques fractions de secondes.
«Trop, c’est trop ! Il fallait mettre fin à la domination nigériane. Le relais de Côte d’Ivoire est en train de retrouver la place qu’il n’aurait jamais dû quitter. En tout cas, je suis fier d’appartenir à ce petit groupe formidable. C’est une expérience fantastique. Et je peux vous assurer que c’est le début de l’aventure olympique», a déclaré Wilfried Koffi, après leur course folle vers l’or.
Pourtant, que de frayeurs le matin de la course. Cissé Gué et Ben Youssef Méité se sont heurtés à l’entraînement. Les deux athlètes ont été admis à l’infirmerie pendant de longues heures. Finalement, cela n’a été qu’un simple choc. Peu avant leur course, les dames conduites par Marie Josée Ta Lou n’ont pas cassé la baraque. Elles ont terminé troisième (médaille de bronze) en 43’98. Derrière le Nigeria propulsé par sa championne mondiale, Blessing Okagbare (43’10) et le Ghana (43’78).
« C’est le fruit de l’improvisation. Un relais, ça ne se court pas au hasard. Les coureurs doivent se connaître et travailler ensemble auparavant. Mais, enfin, nous avons fait avec ce qu’on avait sous la main », explique Ta Lou, qui ne supporte pas de perdre.
L’athlète qui doit affronter la Nigériane qui vient de rejoindre le groupe à Brazzaville, a un petit souci au niveau de la cuisse. « Je traîne cette douleur, mais j’espère qu’elle ne m’empêchera de m’éclater », a- t-elle confié.
L’Abidjanaise, l’hymne national ivoirien, a encore tonné dans le ciel de Brazzaville. La troisième journée des épreuves d’athlétisme a été fructueuse pour les coureurs ivoiriens. Après avoir décroché six médailles, lundi soir, les sprinters ivoiriens ont ajouté deux autres à leur palmarès, hier, en fin de soirée, sur le tartan du stade olympique de Kintélé. C’était au 4x100 m relais hommes. Ben Youssef Méité au bout d’une chaîne bien ficelée par leurs entraîneurs avec au début, le jeune Christopher Naliali, ensuite, Cissé Gué, a transmis le relais à Wilfried Koffi Hua qui s’est faufilé comme une aiguille dans la meute de sprinters pour trouver la main de Ben Youssef Méité, le patron actuel du 100 m hommes qui a achevé le boulot (38’95) pour accrocher à son cou, le graal. Devant le Nigeria (38’97). Au grand bonheur de la petite communauté ivoirienne qui est passée par tous les sentiments en quelques fractions de secondes.
«Trop, c’est trop ! Il fallait mettre fin à la domination nigériane. Le relais de Côte d’Ivoire est en train de retrouver la place qu’il n’aurait jamais dû quitter. En tout cas, je suis fier d’appartenir à ce petit groupe formidable. C’est une expérience fantastique. Et je peux vous assurer que c’est le début de l’aventure olympique», a déclaré Wilfried Koffi, après leur course folle vers l’or.
Pourtant, que de frayeurs le matin de la course. Cissé Gué et Ben Youssef Méité se sont heurtés à l’entraînement. Les deux athlètes ont été admis à l’infirmerie pendant de longues heures. Finalement, cela n’a été qu’un simple choc. Peu avant leur course, les dames conduites par Marie Josée Ta Lou n’ont pas cassé la baraque. Elles ont terminé troisième (médaille de bronze) en 43’98. Derrière le Nigeria propulsé par sa championne mondiale, Blessing Okagbare (43’10) et le Ghana (43’78).
« C’est le fruit de l’improvisation. Un relais, ça ne se court pas au hasard. Les coureurs doivent se connaître et travailler ensemble auparavant. Mais, enfin, nous avons fait avec ce qu’on avait sous la main », explique Ta Lou, qui ne supporte pas de perdre.
L’athlète qui doit affronter la Nigériane qui vient de rejoindre le groupe à Brazzaville, a un petit souci au niveau de la cuisse. « Je traîne cette douleur, mais j’espère qu’elle ne m’empêchera de m’éclater », a- t-elle confié.