La Banque africaine de développement (BAD) consdière l’exploitation du potentiel énergétique de l’Afrique comme l’un de ses axes majeurs, a déclaré mercredi le nouveau président de la BAD, Akinwumi Adesina, à l’occasion d’une "Semaine de l’énergie", organisée du 14 au 18 septembre à Abidjan.
La Semaine, organisée par la BAD et ses partenaires a pour but de réfléchir sur le développement du secteur de l’énergie en Afrique et valoriser "l’énorme potentiel" énergétique du continent.
La Semaine se penche également sur l’éclairage et la fourniture d’électricité en Afrique.
Investi le 1er septembre comme le président de la BAD, M. Adesina a insisté sur l’intention de son institution de "placer l’énergie parmi ses plus hautes priorités".
"L’Afrique jouit d’un potentiel illimité en ressources solaires, éoliennes, hydrauliques et géothermiques", a-t-il déclaré.
"Libérer le potentiel énergétique considérable de l’Afrique, pour l’Afrique, sera l’un des axes majeurs de l’action de la Banque", a-t-il souligné, indiquant que la banque panafricaine sera "le chef de file de cet enjeu crucial".
M. Adesina a annoncé que la BAD lancera, à partir des réflexions d’Abidjan, un nouveau "Pacte de l’énergie pour l’Afrique" qui devrait déboucher sur une accélération de la fourniture d’électricité sur tout le continent.
Il s’agira de faire "preuve d’audace, de créativité, en forgeant des partenariats stratégiques pour l’énergie de l’Afrique et en mobilisant des ressources des secteurs public et privé", a-t-il expliqué.
La Semaine de l’énergie est meublée par un forum de haut niveau de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) sur la politique énergétique durable et l’investissement, une réunion consultative avec les parties prenantes et un atelier technique sur le couloir d’énergies propres en Afrique.
Des investisseurs de premier plan, des développeurs de projets, des décideurs, des institutions de développement, des entrepreneurs et des chefs d’État participent à la rencontre.
En Afrique, on estime à 80% le pourcentage de la population rurale qui n’a pas accès à l’électricité.
La Semaine, organisée par la BAD et ses partenaires a pour but de réfléchir sur le développement du secteur de l’énergie en Afrique et valoriser "l’énorme potentiel" énergétique du continent.
La Semaine se penche également sur l’éclairage et la fourniture d’électricité en Afrique.
Investi le 1er septembre comme le président de la BAD, M. Adesina a insisté sur l’intention de son institution de "placer l’énergie parmi ses plus hautes priorités".
"L’Afrique jouit d’un potentiel illimité en ressources solaires, éoliennes, hydrauliques et géothermiques", a-t-il déclaré.
"Libérer le potentiel énergétique considérable de l’Afrique, pour l’Afrique, sera l’un des axes majeurs de l’action de la Banque", a-t-il souligné, indiquant que la banque panafricaine sera "le chef de file de cet enjeu crucial".
M. Adesina a annoncé que la BAD lancera, à partir des réflexions d’Abidjan, un nouveau "Pacte de l’énergie pour l’Afrique" qui devrait déboucher sur une accélération de la fourniture d’électricité sur tout le continent.
Il s’agira de faire "preuve d’audace, de créativité, en forgeant des partenariats stratégiques pour l’énergie de l’Afrique et en mobilisant des ressources des secteurs public et privé", a-t-il expliqué.
La Semaine de l’énergie est meublée par un forum de haut niveau de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) sur la politique énergétique durable et l’investissement, une réunion consultative avec les parties prenantes et un atelier technique sur le couloir d’énergies propres en Afrique.
Des investisseurs de premier plan, des développeurs de projets, des décideurs, des institutions de développement, des entrepreneurs et des chefs d’État participent à la rencontre.
En Afrique, on estime à 80% le pourcentage de la population rurale qui n’a pas accès à l’électricité.
