Dans l’élan du passage à la Télévision Numérique Terrestre en Afrique, l’Autorité de régulation des télécommunications / Tic de Côte d’Ivoire (Artci) et l’Uit sous l’égide du Ministère de la Poste et des technologiques de l’information et de la communication organisent du 14 au 18 septembre 2015 un atelier régional.
« Le rôle des ressources humaines dans la migration vers la Télévision numérique terrestre (TNT) et le développement de l’économie numérique », tel est le thème de l’atelier initié par l’Artci. Ouvert le lundi 14 septembre 2015 dans un espace à la Riviera, il prend fin aujourd’hui vendredi 18 septembre 2015.
Pour expliquer les enjeux de la TNT en Côte d’Ivoire, Jean-Philipe Kaboré, Secrétaire exécutif du Comité national de migration vers la Télévision Numérique Terrestre (CNM-TNT) était face aux différentes délégations venues de 29 pays d’Afrique.
A l’occasion de son passage au pupitre le mardi 15 septembre 2015, il a animé le thème : « Enjeux et perspectives de la migration vers la TNT : Cas de la Côte d’Ivoire ». Le secrétaire exécutif a expliqué le contexte général de la migration, le schéma directeur de référence et le processus de mise en œuvre du projet. Pour lui, la TNT représente une révolution pour le téléspectateur qui aura la latitude de bénéficier de plusieurs chaines.
Les enjeux selon lui sont entre autres, les contraintes financières de l’Etat qui vise le moindre coût possible à une politique de subventions directe. Au-delà, il est question de réduire au minimum la période de diffusion simultanée qui nécessite l’entretien à grands frais de 2 systèmes de diffusion. Il vise également à faire de la TNT le vecteur majeur de la diffusion audiovisuelle en Côte d’Ivoire et de permettre une transition réussie de la RTI dans le nouvel écosystème numérique ivoirien. Le dernier enjeu reste quant à lui, la mise en place d’un écosystème pérenne.
Comme réseau de diffusion, Jean-Philipe Kaboré a annoncé 35 sites pour une couverture de 95% du territoire dont 27 déjà existants. Parmi lesquels 4 sont à déplacer et 4 nouveaux sont à créer. Une transmission par satellite dans une première phase.
Le tout pour un budget total (réseau et frais annexes) d’un montant de 25 milliards de francs CFA hors taxe.
R-O
« Le rôle des ressources humaines dans la migration vers la Télévision numérique terrestre (TNT) et le développement de l’économie numérique », tel est le thème de l’atelier initié par l’Artci. Ouvert le lundi 14 septembre 2015 dans un espace à la Riviera, il prend fin aujourd’hui vendredi 18 septembre 2015.
Pour expliquer les enjeux de la TNT en Côte d’Ivoire, Jean-Philipe Kaboré, Secrétaire exécutif du Comité national de migration vers la Télévision Numérique Terrestre (CNM-TNT) était face aux différentes délégations venues de 29 pays d’Afrique.
A l’occasion de son passage au pupitre le mardi 15 septembre 2015, il a animé le thème : « Enjeux et perspectives de la migration vers la TNT : Cas de la Côte d’Ivoire ». Le secrétaire exécutif a expliqué le contexte général de la migration, le schéma directeur de référence et le processus de mise en œuvre du projet. Pour lui, la TNT représente une révolution pour le téléspectateur qui aura la latitude de bénéficier de plusieurs chaines.
Les enjeux selon lui sont entre autres, les contraintes financières de l’Etat qui vise le moindre coût possible à une politique de subventions directe. Au-delà, il est question de réduire au minimum la période de diffusion simultanée qui nécessite l’entretien à grands frais de 2 systèmes de diffusion. Il vise également à faire de la TNT le vecteur majeur de la diffusion audiovisuelle en Côte d’Ivoire et de permettre une transition réussie de la RTI dans le nouvel écosystème numérique ivoirien. Le dernier enjeu reste quant à lui, la mise en place d’un écosystème pérenne.
Comme réseau de diffusion, Jean-Philipe Kaboré a annoncé 35 sites pour une couverture de 95% du territoire dont 27 déjà existants. Parmi lesquels 4 sont à déplacer et 4 nouveaux sont à créer. Une transmission par satellite dans une première phase.
Le tout pour un budget total (réseau et frais annexes) d’un montant de 25 milliards de francs CFA hors taxe.
R-O