Un exercice conjoint de la force onusienne et des forces de sécurité ivoiriennes se déroulera mardi prochain à Séguéla (centre-ouest) dans la perspective de la sécurisation de l’élection présidentielle du 25 octobre en Côte d’Ivoire.
Les exercices conjoints, initiés depuis le début de l’année, ont été déjà planifiés et conduits dans les villes de Daloa (Centre-ouest), Bouaké (Centre) et de Korhogo (Nord), indique vendredi une note d’information de l’Opération des Nations unies en Côte d’Ivoire (Onuci).
Ils démontrent "l’intérêt que les plus hautes autorités civiles et celles en charge de la sécurité attachent à la tenue d’élections calmes, transparentes et inclusives" en Côte d’Ivoire, ajoute le texte.
Jeudi, le principal candidat de l’opposition, Pascal Affi N’guessan, président du Front populaire ivoirien (FPI, de Laurent Gbagbo), a exprimé ses "inquiétudes" sur la situation sécuritaire en Côte d’Ivoire à moins de 45 jours de l’élection présidentielle.
M. Affi N’guessan a dénoncé un contexte actuel marqué par une "insécurité chronique" avec l’existence de "groupes armés non encasernés", le phénomène des "coupeurs de route", les bandits de grand chemin qui sévissent sur les routes à l’intérieur du pays, sans oublier les "microbes", les gangs de jeunes de moins de 15 ans très actifs à Abidjan.
Au total 28 000 soldats ivoiriens et 6 000 Casques bleus seront mobilisés à partir du 1er octobre pour la sécurisation "avant, pendant et après" l’élection présidentielle, selon les prévisions de la Commission en charge de l’organisation des élections.
Le scrutin du 25 octobre est crucial pour le retour de la paix en Côte d’Ivoire après les violences post-électorales de 2010 qui ont fait au moins 3 000 morts.
Les exercices conjoints, initiés depuis le début de l’année, ont été déjà planifiés et conduits dans les villes de Daloa (Centre-ouest), Bouaké (Centre) et de Korhogo (Nord), indique vendredi une note d’information de l’Opération des Nations unies en Côte d’Ivoire (Onuci).
Ils démontrent "l’intérêt que les plus hautes autorités civiles et celles en charge de la sécurité attachent à la tenue d’élections calmes, transparentes et inclusives" en Côte d’Ivoire, ajoute le texte.
Jeudi, le principal candidat de l’opposition, Pascal Affi N’guessan, président du Front populaire ivoirien (FPI, de Laurent Gbagbo), a exprimé ses "inquiétudes" sur la situation sécuritaire en Côte d’Ivoire à moins de 45 jours de l’élection présidentielle.
M. Affi N’guessan a dénoncé un contexte actuel marqué par une "insécurité chronique" avec l’existence de "groupes armés non encasernés", le phénomène des "coupeurs de route", les bandits de grand chemin qui sévissent sur les routes à l’intérieur du pays, sans oublier les "microbes", les gangs de jeunes de moins de 15 ans très actifs à Abidjan.
Au total 28 000 soldats ivoiriens et 6 000 Casques bleus seront mobilisés à partir du 1er octobre pour la sécurisation "avant, pendant et après" l’élection présidentielle, selon les prévisions de la Commission en charge de l’organisation des élections.
Le scrutin du 25 octobre est crucial pour le retour de la paix en Côte d’Ivoire après les violences post-électorales de 2010 qui ont fait au moins 3 000 morts.