La Centrale syndicale Dignité a proposé le vendredi 18 septembre 2015 à Abidjan, un dialogue-direct entre le président Ouattara et l’opposition politique, en vue de lever les points de discorde entre les deux entités, en vue d’une présidentielle apaisée. « La CISL-DIGNITE demande la prise en main, par le président de la république, du dialogue avec l’opposition sans intermédiaire », a déclaré, lors d’une conférence de presse, M.Elie Dago Boga, président de ladite centrale. « Nous recommandons la libération des prisonniers politiques et la prise d’une mesure d’amnistie générale, de même que la mise en place d’une CEI consensuelle », a par ailleurs suggéré l’orateur, qui n’a pas manqué de remercier le chef de l’Etat Alassane Ouattara pour la revalorisation salariale des travailleurs.
Cependant, le leader syndical a dénoncé la précarité de l’emploi dans l’enseignement privé laïc, le sort des agents municipaux dont l’employabilité est liée à la coloration politique du maire en exercice, l’incursion inopinée du CNP dans l’affaire privée Guillaume-Gbatto-Synappci… Dignité exige en outre de l’Etat, le règlement des dossiers IRHO LAME, ANADER, de même que le respect de la liberté syndicale notamment dans l’enseignement et ‘’la levée de la suspension des précomptes qui constituent une violation flagrante de la Convention 87 de l’OIT relative à la protection du droit syndical, convention pourtant signée par l’Etat de Côte d’Ivoire’’. « Nous demandons au gouvernement de mettre fin au calvaire des policiers en payant régulièrement leurs baux », a-t-il demandé, du reste, pour conclure.
H G
Cependant, le leader syndical a dénoncé la précarité de l’emploi dans l’enseignement privé laïc, le sort des agents municipaux dont l’employabilité est liée à la coloration politique du maire en exercice, l’incursion inopinée du CNP dans l’affaire privée Guillaume-Gbatto-Synappci… Dignité exige en outre de l’Etat, le règlement des dossiers IRHO LAME, ANADER, de même que le respect de la liberté syndicale notamment dans l’enseignement et ‘’la levée de la suspension des précomptes qui constituent une violation flagrante de la Convention 87 de l’OIT relative à la protection du droit syndical, convention pourtant signée par l’Etat de Côte d’Ivoire’’. « Nous demandons au gouvernement de mettre fin au calvaire des policiers en payant régulièrement leurs baux », a-t-il demandé, du reste, pour conclure.
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